Chez les
Choragus (
sheppardi, horni, rogei), les articles médians des antennes sont beaucoup moins filiformes, les femelles présentent une profonde
dépression sur toute la face sternale qui n'existe pas ici, et enfin le
pygidium des
Choragus ne présente pas de caractère particulier.
Ça ne se voit pas vraiment sur une vue de dessus, mais le
pygidium des
Araeocerodes est très particulier, en forme de quille de bateau chez le mâle, et en forme de trapèze plat chez la femelle.
Pour en finir avec les Choraginae noirs qui se ressemblent,
Pseudochoragus piceus est le plus facile à reconnaitre puisqu'il a des antennes de 9 articles (11 chez les autres).
Araeocerodes grenieri est cité de Finlande, je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de chênes-lièges là-bas
Quant au mode de capture, je crois que c'est au piège inter, mais il faut que je demande confirmation à leur inventeur, un des nombreux entomologistes de Boullay-lès-Troux
