Ci-dessous, une cétoine Arménienne de couleur pourpre, capturée alors qu'elle faisait son affaire à une autre, qui en était verte de rage. Cette bestiole est plutôt inhabituelle, nous ne l'avons capturée que dans une zone assez restreinte, sur Onopordon aux fleurs non encore sorties. Trouverez-vous ?
D. Poirier-Ducrocq : Arménie : Dzoravank : 18/6/2012
Pour nous, c'était pourtant presque du quotidien, mais cette forme ne s'est trouvée que dans un périmètre passablement restreint.
Nous allions régulièrement "cueillir des violettes" dans ce périmètre, en nous gardant toutefois de les offrir aux paysannes du coin, de crainte d'entretenir la réputation de romantisme des français à l'étranger.
Prendre son courage à deux mains, c'est toujours plus facile, lorsqu'on est ambidextre.
Cela veut dire que nous allions régulièrement dans cet espace onopordesque où nous prenions quelquefois, noyées dans la masse de leurs consoeurs "ordinaires", de ces cétoines pourpres dont la rareté nous fait les conserver comme la prunelle de nos yeux
Prendre son courage à deux mains, c'est toujours plus facile, lorsqu'on est ambidextre.
Cette forme pourpre doit, à l'endroit indiqué par Mikko, représenter à peu près 2% des ungarica rencontrées. C'est te dire que nous avons eu un peu de bol. Elle existe aussi en noir, mais là, nada...