Il me semble distinguer une pilosité importante, en particulier autour des hémelytres. Ceci indiquerait qu'il s'agit du sous-genre Neolasiotropis. Au-delà, c'est de la pure devinette. La seule chose qu'on puisse dire, c'est que le plus commun et de loin dans ce sous genre est
Tingis marubii Vallot, mais la coloration colle mieux avec
Tingis (Neolasiotropis) pilosa Hummel. L'un et l'autre vivant sur des lamiacées, ce n'est pas la plante de capture qui va nous aider. Ces bêtes-là, il vaut mieux les amener sous la bino (tate !, tousse !, comme disait je ne sais plus qui dans un autre post).

Ignoranti quem portum petat, nullus ventus suus est.
maxime du mois : Qui boit plus qu'assez trop pisse !