S'il n'y en avait qu'une... Elles sortent de je ne sais où toutes les après-midis vers 16 heures, sont silencieuses, hyper rapides et mobiles, harcèlent à plusieurs en même temps, piquent à travers les vêtements mais on ne sent la piqûre que quand la bestiole est déjà repartie et que c'est trop tard, et ça démange terriblement, quasiment impossibles à baffer quand elles sont posées, bizarrement plus faciles à claquer en vol. Heureusement, elles ne sont pas nocturnes et les jours raccourcissent, mais c'est assez infernal comme ça. Apprécient particulièrement les pieds et les chevilles.

Catherine Reymonet : France : Avignonet-Lauragais : 31290 : 06/09/2018
Altitude : 195 m - Taille : hmm...
Réf. : 215692
Je suis étonnée que la carte de la Galerie soit si vide. Personne ne pense à les prendre en photo ? Faut dire que ça demande du doigté de les baffer mais sans les écrabouiller complètement. Quand on le fait, d'ailleurs, elles laissent une poudre argentée du plus bel effet...
Cette sale bestiole a un seul avantage : elle me facilite le déménagement en m'ôtant les derniers regrets que j'aurais pu avoir à partir d'ici. Il n'y a pas de moustiques sur le Plateau
