J'avoue que je ne comprends pas bien cette scène Hot (à censurer ?).
Ce n'est même pas un cuni ( ) car le mâle n'est pas à la hauteur de l'ouverture génitale... Ils ont de drôles de mœurs tes bestiaux !
MicrOlivier Des êtres différents tu sonderas l'essence ; Tu connaitras de tout le principe et la fin. Je collecte acariens et insectes parasites, notamment les acariens phorétiques sur insectes et arthropodes & parasites sur tout être vivant ! Merci
vanderbergh a écrit :c'est un accouplement de tiques des plus conforme
Tu peux nous faire un dessin ?
MicrOlivier Des êtres différents tu sonderas l'essence ; Tu connaitras de tout le principe et la fin. Je collecte acariens et insectes parasites, notamment les acariens phorétiques sur insectes et arthropodes & parasites sur tout être vivant ! Merci
Les accouplements de tiques se font en général lorsque la femelle est fixée sur un hôte et qu'elle a commencé à se gorger. Toutefois la scène relatée ici est classique lors des retours de chasses au "fauchoir" ou au "drapeau", et là ne sont récoltés que des individus à jeun. De ce fait s'ils sont placés vivant dans la boite de récolte, à l'ouverture de celle-ci on ne retrouve que des femelles, il faut retourner ces dernières pour voir les mâles, tous sont accouplés.
J'ai aussi constaté le même phénomène avec des nymphes de Pholeoixodes placées en vivarium. Après déchirure de l'enveloppe et apparition des individus adultes, il faut environ 24 à 30 h pour que la cuticule durcisse et se pigmente et après cela, s'il y a des mâles et des femelles, rapidement ils s'accouplent.
Par contre je ne l'ai jamais constaté avec les Dermacentor, Haemaphysalis et Rhipicephalus placés dans les mêmes conditions.
Pour répondre à Olivier, je confirme que le rostre du mâle est bien dans la vulve de la femelle, car chez I.ricinus elle se situe au niveau de la quatrième paire de pattes.
A plus