Piezo a écrit :Marc, il faut pas en vouloir à Sat, c'est juste qu'il est très sensible aux stades de la lune
Méfie toi ce sera pleine lune à Oléron
Encore une fois, si une aridité ou une agressivité transparaissait dans mes précédent propos, ce n'est pas volontaire, je ne l'était vraiment pas (et cui qu'est pas d'accord j'ui pète sa tronche

). Je suis d'accord que le système n'est pas parfait mais il a le mérite d'exister et d'être à peu près structuré. Le code de nommenclature a prit un choix sur l'infraspécifique, ce choix est contesté notament par les généticiens avec leurs concepts de vice-species, quasi-species... un exemple est le Pieris cf. bryonae, qui se comporte en subsp. de napi à l'est et à l'ouest de l'arc alpin, mais comme espèce propre au nord et au sud du même arc. On peut tourner le problème dans tous les sensavec les seuls concepts espce et subsp, on y arrive pas.
Je ne pense pas que les proposition de deuve soient verticales, mais plus ou moins horizontales. c'est tout du moins ce que proposent les généticiens des population : on a modèlisé 4 grands processus de ségrégation conduisant à la spéciation (géographique, écologique, sexuelle, comportementale), il serait donc normal que ces 4 processus qui conduisent au même point aient des intermédiaires différents. Essayer de hierarchiser sur une même échelle verticale toutes ces notions est dangereux, ils seraient donc alignés transversalement sous l'espèce. Si effectivement les proposition de deuve sont verticales, alors...
Mais enfin bon, puisqu'on en est aux citations, méditons tous cette maxime de Sainte-Claire Deville, dans l'intro de son catalogue :
"Je suis bien obligé de prendre la science là où elle en est, tout en soupçonnant à l'égard de bien des groupes que leur systématique actuelle est peu satisfaisante".
On peut effectivement y ajouter la notion de "définition de groupe"
