Je ne me sens pas trop de bricoler un appareil photo, et j'ai suivi de près le débat sur la question...il faut être un virtuose comme toi, moi je préfère les solutions de facilité !
Par ailleurs, le MPE-65 ne me semble pas équipé des logiciels qui m'intéressent pour pouvoir utiliser Helicon focus piloté par ordinateur.
Je récapitule :
a) la
base certaine de mon choix, c'est le 550 D.
b) Reste à savoir si l'objectif que j'ai choisi pour aller avec est le meilleur. Je me souviens d'une phrase de Sat', qui disait en substance que cela ne sert à rien d'avoir trops de pixels quand la qualité de l'objectif est insuffisante pour les laisser s'exprimer
(tu vois, Sat', je t'avais dit un jour que je connaissais tes oeuvres par coeur !
). L'objectif que j'ai choisi a priori est-il le meilleur à cet égard, sur les 62 objectifs que propose Canon ? J'avoue que devant cette quantité ahurissante, je suis plus qu'un peu paumé...Mais je suis prêt, comme tu le dis, à "casser ma tirelire" pour avoir l'objectif idéal qui me permette de photographier, en utilisant tout le potentiel des 18 Mpixels, depuis le gros coléo jusqu'à la quéquette millimétrique
(trique est peut-être de trop dans cet exemple !
), si un spécialiste a la bonté de me l'indiquer.
c) après, se pose la question du statif ou du pied, il y a un post de lancé, mais le débat s'amorce difficilement. J'ai un pied
dans la tombe
, je pourrai toujours l'utiliser en attendant de savoir si je dois me procurer un statif ou non, et lequel.
d) après, la lumière : étant retraité, je peux attendre les jours (ou les heures) de soleil, et essayer de faire disparaître les ombres soit en orientant le coléo perpendiculairement au soleil, soit en ajoutant des éclairages LED, soit en gommant l'ombre par photoshop pour les exemplaires non pileux. J'ajouterai que j'ai d'ores et déjà acquis un flash circulaire, mais que, comme je suis une quiche complète en matière de photographie, je n'ai jamais été capable de m'en servir correctement.
Les question de statif et de lumière me préoccupent donc moins pour l'instant que celle du meilleur objectif, crucial aujourd'hui dans la réalisation de mon chemin critique.
Prendre son courage à deux mains, c'est toujours plus facile, lorsqu'on est ambidextre.