Ah oui j'ai failli oublier :
Le document est disponible
ici.
Il est également cité dans le complément au volume 1 de la Faune de France (Bitsch & Leclercq, 1993, complément en 2009 il me semble).
C'est d'ailleurs ce complément qui m'avait mis sur la trace (pour m'en sortir, car j'ai eu des difficultés à séparer les femelles elongatulus et distinguendus, c'est encore parfois le cas, et pour ajouter à la difficulté, j'ai trouvé un exemplaire de chaque en chasse à vue sur le même mur le même jour en été 2016), surtout que C. distinguendus & elongatulus sont largement répandus, il faut se méfier dans les Alpes pour chercher italicus (trouvé au Mercantour par Christian Schmid-Egger je crois, il est également signalé dans les Alpes + à l'est, et il me semble que le mâle a été décrit de Grèce).
Les mâles sont nettement plus faciles à identifier que les femelles (la coloration jaune du fémur 1 de distinguendus est très typique), les femelles, c'est le cirque, dés qu'il y a une cochonnerie sur la tête (un peu de saleté collée par exemple), les impressions donnent une impression de mate, alors qu'elles sont lisses ou l'inverse, elles paraissent + surélevées). Le critère de l'angle latéral du
collare est très intéressant, et il sert aussi à sortir italicus (faut être très prudent dans les Alpes donc).
Jérôme