Dites, ça ne vous fait rien si je plagie les votre (d'étiquettes) ? J'veux dire : Je peux faire exactement les mêmes pour mes insectes ? C'est parce que je trouve les données fort bien agencées et "harmonieuses" (J'ai pas trouvé d'autres mots qui aillent mieux ).
Le plagiat est parfois une bonne chose!! J'ai moi aussi copié la forme de mes étiquettes sur d'autres personnes (consentantes!), et il m'arrive de les améliorer car j'ai de nouveaux éléments à y faire figurer!!
Comme le dit Bruno, mes étiquettes ne sont pas "déposées".
Elles ne sont d'ailleurs pas classiques, ni dans leur dimensions et proportions, ni dans la disposition des renseignement qu'elles comportent.
Mon souci d'esthétique a en effet été majeur, sans préjudice des données indispensables.
Ce qu'il faut respecter c'est:
Une étiquette indispensable comportant les renseignement de capture, au minimum lieu et date- Le lieu avec le plus de précisions possible (cooerdonnées si possible, COMMUNE: indispensable, Altitude, souhaitable, indispensable au dessus de 600m)- Pour les Sphecidae, pas de "plante-hôte" mais pour bien des familles, c'est important! cette étiquette est celle qui sera placée le plus haut sur l'épingle.
Il peut y avoir une deuxième étiquette complètant la première: Observation diverses. Certains le font parfois, pas moi.
En dessous l'étiquette comportant le nom : Elle comporte aussi le nom du déterminateur et la date (année) de détermination. Cette étiquette manque souvent ! Le nom ne doit jamais être noté sur la même étiquette que les données de capture!
Il peut y avoir une étiquette complétant la précédente, mise par le spécialiste qui a confirmé ou infirmé la détermination (il est rare, quand on débute et qu'on fait de grossières erreur de conserver sa propre étiquette si l'on s'est trompé, mais à l'inverse on est fier de la garder si l'on a vu comme le spécialiste)
Le même type d'étiquette peut encore être rajouter lors d'un changement de nomenclature ! (peu le font!)
Tout ça, ça fait beaucoup, en pratique il y a au minimum l'étiquette de "capture", puis, dés que c'est fait "l'dentification", une troisième est pour moi le maximum ! Certains vont jusqu'à 4 mais si l'on a pas 4 mm entre les étiquettes on ne les lit plus sans les démonter.
Comme je travaille sur une famille ou les insectes français sont plutot petits dans l'ensemble, j'ai de petites étiquettes environ 9x13mm
La plupart des lignes sont écrites avec la police RomanScrd taille 4
Le Collecteur et Déterminateur sont en SchneidlerMed, taille 4
Le sexe est tout bêtement en police spéciale Astro... (Les signes mâle femelle et ouvrière sont des symboles de planètes ! )
Patrick_B a écrit :Altitude, souhaitable, indispensable au dessus de 600m
Maître es sphecidae, je me permettrais de préciser, altitude indispensable même en dessous de 600m.
C'est dumoins ce que d'autres maîtres es boudon demandent. Respectueusement.
Didier.
Patrick_B a écrit :Comme le dit Bruno, mes étiquettes ne sont pas "déposées".
Elles ne sont d'ailleurs pas classiques, ni dans leur dimensions et proportions, ni dans la disposition des renseignement qu'elles comportent.
Mon souci d'esthétique a en effet été majeur, sans préjudice des données indispensables.
Ce qu'il faut respecter c'est:
Une étiquette indispensable comportant les renseignement de capture, au minimum lieu et date- Le lieu avec le plus de précisions possible (cooerdonnées si possible, COMMUNE: indispensable, Altitude, souhaitable, indispensable au dessus de 600m)- Pour les Sphecidae, pas de "plante-hôte" mais pour bien des familles, c'est important! cette étiquette est celle qui sera placée le plus haut sur l'épingle.
Il peut y avoir une deuxième étiquette complètant la première: Observation diverses. Certains le font parfois, pas moi.
En dessous l'étiquette comportant le nom : Elle comporte aussi le nom du déterminateur et la date (année) de détermination. Cette étiquette manque souvent ! Le nom ne doit jamais être noté sur la même étiquette que les données de capture!
Il peut y avoir une étiquette complétant la précédente, mise par le spécialiste qui a confirmé ou infirmé la détermination (il est rare, quand on débute et qu'on fait de grossières erreur de conserver sa propre étiquette si l'on s'est trompé, mais à l'inverse on est fier de la garder si l'on a vu comme le spécialiste)
Le même type d'étiquette peut encore être rajouter lors d'un changement de nomenclature ! (peu le font!)
Tout ça, ça fait beaucoup, en pratique il y a au minimum l'étiquette de "capture", puis, dés que c'est fait "l'dentification", une troisième est pour moi le maximum ! Certains vont jusqu'à 4 mais si l'on a pas 4 mm entre les étiquettes on ne les lit plus sans les démonter.
Comme je travaille sur une famille ou les insectes français sont plutot petits dans l'ensemble, j'ai de petites étiquettes environ 9x13mm
La plupart des lignes sont écrites avec la police RomanScrd taille 4
Le Collecteur et Déterminateur sont en SchneidlerMed, taille 4
Le sexe est tout bêtement en police spéciale Astro... (Les signes mâle femelle et ouvrière sont des symboles de planètes ! )
Merci Patrick, c'est exactement ça dont j'avais besoin . Magnifique votre forum, on y trouve réponse à tout .
par contre se pose le problème non évoqué de la conservation des encres: je vois que la photo montre des étiquettes écrites avec une imprimante jet d'encre... ce qui peut à terme poser problème, de même sur un forum international (coleoptera je crois) était abordé le problème de conservation du papier, qui lui non plus n'est pas une mince affaire...
A priori, puisque le mode de conservation est rigoureusement et forcement le même, pourquoi le papier serait moins longévif que l'insecte en lui-même ?
question de papier: il y a les acides et ceux non acides - les premiers se délitent au bout d'un certain temps, jaunissent, en somme s'oxydent! les autres moins et surtout moins vite!
le même problème se pose pour les bibliothèques: il suffit de voir les papiers de mauvaise qualité utilisés pendant la dernière guerre mondiale pour savoir que le problème est réel d'une part et que d'autre part, lorsqu'il survient, il faut reprendre nombre d'étiquettes, ce qui représente un travail plus que conséquent!
et je ne parle pas des collègues qui utlisent des feutres ou bics pour les étiquettes: j'ai une bonne partie des cartons au musée dasn lesquels les encres disparaissent par oxydation / et effet de la lumière (qu'ils ne voient pourtant pas très souvent...), si ce n'est ce qui est encore plus rapide par effet des acides gras qui proviennent de l'insecte piqué au-dessus de l'étiquette!
bref, il vaut mieux investir un peu plus dans du papier ou du bristol de qualité . pour les encres, j'utilise une laser, les toners sont plus stables dans le temps, même si l'incrustation par cuisson dans le papier peut se montrer fragile. et pour doubler les infos, j'ai une base de données où sont consignées les infos des étiquettes... doppeltgenäht hält besser, comme diraient certains de nos voisins européens!
dkeith a écrit :question de papier: il y a les acides et ceux non acides - les premiers se délitent au bout d'un certain temps, jaunissent, en somme s'oxydent! les autres moins et surtout moins vite!
le même problème se pose pour les bibliothèques: il suffit de voir les papiers de mauvaise qualité utilisés pendant la dernière guerre mondiale pour savoir que le problème est réel d'une part et que d'autre part, lorsqu'il survient, il faut reprendre nombre d'étiquettes, ce qui représente un travail plus que conséquent!
et je ne parle pas des collègues qui utlisent des feutres ou bics pour les étiquettes: j'ai une bonne partie des cartons au musée dasn lesquels les encres disparaissent par oxydation / et effet de la lumière (qu'ils ne voient pourtant pas très souvent...), si ce n'est ce qui est encore plus rapide par effet des acides gras qui proviennent de l'insecte piqué au-dessus de l'étiquette!
bref, il vaut mieux investir un peu plus dans du papier ou du bristol de qualité . pour les encres, j'utilise une laser, les toners sont plus stables dans le temps, même si l'incrustation par cuisson dans le papier peut se montrer fragile. et pour doubler les infos, j'ai une base de données où sont consignées les infos des étiquettes... doppeltgenäht hält besser, comme diraient certains de nos voisins européens!
Je fais pareil. J'ai la faiblesse de croire que c'est un gage de qualité... pour Denis
Saturnin, modeste avec ça
Sat'
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près