Martiseb a écrit :
C'est marrant mais malgré qu'elle soit fort commune, jamais nous ne l'avions repéré dans notre jardin.
Le meilleur moyen de la trouver, c'est justement de repérer les '
dépressions' dans les hautes herbes et d'y chercher une toile (caractéristique avec son stabilimentum) : généralement elle s'y trouve suspendue mais, au moindre mouvement d'approche, elle se laisse généralement tomber sur le sol...
Beaucoup moins de mâles car, beaucoup plus petits que la femelle, ceux-ci se font très souvent dévorer lors de l'accouplement. Pour tenter d'échapper à ce funeste destin, le mâle abandonne le plus souvent son appareil copulateur, ce qui diminue les chances d'un autre mâle de féconder la femelle et augmente ses propres chances de fuite.
A bientôt pour d'autres photos, espérant que Clémentine ne lâche pas trop vite le morceau
