Bonjour à tous,
nouveau membre et nouvellement passionné par le monde des araignées, j'éprouve de grandes difficultés pour réussir des photos me permettant de pouvoir identifier les "sujets".
Aussi, je me pose les questions suivantes:
- faut-il des objectifs photos différents, sur le terrain et à la maison ?
- quel(s) objectif(s) utiliser ?
- faire des photos macro sans immobiliser l'araignée relève du miracle, alors comment faire sans tuer l'animal ?
- Comment apporter ma contribution aux membres du forum ?
- y a t'il des membres actifs que je pourrais contacter dans les Alpes de Haute Provence ?
Merci tous pour votre attention et votre aide.
Alain
{Divers} dde info prise photo
Animateur : CedricMondy
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inala
- Nouveau Membre
- Enregistré le : mardi 3 juin 2025, 9:41
- Localisation : alpes de haute provence
{Divers} dde info prise photo
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CedricMondy
- Animateur
- Enregistré le : lundi 27 avril 2020, 22:03
- Localisation : Val-de-Marne
dde info prise photo
Bonjour et la bienvenue sur le forum !
Vaste question qui est posée
Pour l'objectif macro, si on reste sur des animaux vivants, je ne vois pas de raison d'avoir un setup différent maison/extérieur, ce qui peut changer c'est l'éclairage/flash qui peut être encombrant en fonction du matériel disponible et qui peut compliquer l'approche sur le terrain.
Pour le choix de l'objectif, un objectif macro 'classique' permettant un rapport 1:1 et si possible avec une distance de travail un peu importante pour ne pas trop effrayer les bestioles lors de l'approche (un équivalent 100mm en plein format environ) me semble suffisant.
Ensuite, si dans le projet, il y a des prises de vue de genitalias sur individus vivants (faisable sur femelles, plus compliqué sur les mâles), un rapport de grossissement plus important peut être souhaité mais sans forcément changer d'objectif, des bonnettes/tubes allonge peuvent suffire.
Sur l'immobilisation des araignées, si on parle de photos d'habitus , le mieux est encore... la patience 
Sinon, on peut aussi envisager la prise de vues en rafale. Lorsque la lumière vient à manquer (ce qui arrive vite aux forts ratios de grossissement), un flash devient vite nécessaire (plusieurs types sont utilisables entre le cobra avec diffuseur et des flashs dédiés). Une solution est aussi la capture et "stockage" temporaire dans une boite transparente de faible dimension (type boite de Petri). Si on veut faire des photos de zones que l'animal ne montre pas spontanément (vue ventrale par exemple), on peut se bricoler un "pot d'observation" qui permet de bloquer la bête sous un film transparent (film alimentaire) le temps de faire les photos. Ensuite, si à la maison, tu peux aussi essayer le principe de l'île, un caillou émergent au milieu d'un plat rempli d'eau, tu dépose l'araignée sur l'Île ainsi formée, mais ça ne marche pas à tous les coups certaines peuvent avoir envie de marcher sur l'eau ou de piquer une tête...
Sinon, de manière générale, pour optimiser les chances d'identification, il faut multiplier les angles de vue, plus on en a, mieux c'est, les critères à regarder n'étant pas systématiquement les même d'une famille ou d'une espèce à l'autre. Et puis, dans un grand nombre de cas, l'identification à l'espèce sur bestiole vivante n'est tout simplement pas possible malheureusement
Vaste question qui est posée
Pour l'objectif macro, si on reste sur des animaux vivants, je ne vois pas de raison d'avoir un setup différent maison/extérieur, ce qui peut changer c'est l'éclairage/flash qui peut être encombrant en fonction du matériel disponible et qui peut compliquer l'approche sur le terrain.
Pour le choix de l'objectif, un objectif macro 'classique' permettant un rapport 1:1 et si possible avec une distance de travail un peu importante pour ne pas trop effrayer les bestioles lors de l'approche (un équivalent 100mm en plein format environ) me semble suffisant.
Ensuite, si dans le projet, il y a des prises de vue de genitalias sur individus vivants (faisable sur femelles, plus compliqué sur les mâles), un rapport de grossissement plus important peut être souhaité mais sans forcément changer d'objectif, des bonnettes/tubes allonge peuvent suffire.
Sur l'immobilisation des araignées, si on parle de photos d'
Sinon, on peut aussi envisager la prise de vues en rafale. Lorsque la lumière vient à manquer (ce qui arrive vite aux forts ratios de grossissement), un flash devient vite nécessaire (plusieurs types sont utilisables entre le cobra avec diffuseur et des flashs dédiés). Une solution est aussi la capture et "stockage" temporaire dans une boite transparente de faible dimension (type boite de Petri). Si on veut faire des photos de zones que l'animal ne montre pas spontanément (vue ventrale par exemple), on peut se bricoler un "pot d'observation" qui permet de bloquer la bête sous un film transparent (film alimentaire) le temps de faire les photos. Ensuite, si à la maison, tu peux aussi essayer le principe de l'île, un caillou émergent au milieu d'un plat rempli d'eau, tu dépose l'araignée sur l'Île ainsi formée, mais ça ne marche pas à tous les coups certaines peuvent avoir envie de marcher sur l'eau ou de piquer une tête...Sinon, de manière générale, pour optimiser les chances d'identification, il faut multiplier les angles de vue, plus on en a, mieux c'est, les critères à regarder n'étant pas systématiquement les même d'une famille ou d'une espèce à l'autre. Et puis, dans un grand nombre de cas, l'identification à l'espèce sur bestiole vivante n'est tout simplement pas possible malheureusement
Cédric
Curieux de tout, spécialiste de rien ;-)
Curieux de tout, spécialiste de rien ;-)
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inala
- Nouveau Membre
- Enregistré le : mardi 3 juin 2025, 9:41
- Localisation : alpes de haute provence
dde info prise photo
Un grand merci Cedric pour ta réponse et les précisions qu'elle comporte. J'ai de quoi faire....Très bonne journée à toi
Alain
Alain