Si, j'ai un réglage "spot", c'est celui dont je me sers sur le mode que j'ai pré-programmé. D'une facon globale, je ne m'en plains pas, il est précis : si je prends une mouche sur une fleur, une araignée dans des cailloux, un papillon sur un tronc d'arbre, globalement j'arrive à sortir la photo que je veux (compte tenu des limitations de mon appareil, évidemment). Mais le quadrillage, vraiment, ça perturbe mon autofocus. Je me suis fait avoir à la première soirée papillon que j'ai faite avec PPer. Je n'avais jamais fait ça de ma vie, j'étais comme un fou, il y avait des papillons partout, dont beaucoup que je n'avais jamais vus évidemment (bien que la soirée fut faite chez moi). J'ai mitraillé toute la soirée, sans prendre le temps de regarder en détail ce que donnait chaque cliché une fois pris. Et sur l'ordi, le lendemain, déception, une très grande quantité de flous, en tout cas pour les photos prises sur le drap (celles prises dans l'herbe ou sur mon pan de bois étaient normales). Les photos étaient exploitables dans le sens où le papillon était généralement reconnaissable (je ne m'intéressais pas encore aux micro-m...es

), mais la photo n'était pas jolie. J'ai appris depuis à limiter ce biais du quadrillage de l'arrière-plan, mais il m'arrive encore régulièrement de devoir tricher ou de faire des loupés…
Mon compact n'a pas la qualité de celui de PPer, c'est sûr : pour l'avoir vu fonctionner en direct, il est impressionnant ! (l'appareil, je veux dire, pas PPer évidemment

). Outre la mise au point et la profondeur de champ, il est étonnamment lumineux ! Cette noctuelle porphyre est un bon exemple : ma photo est exploitable, le papillon est reconnaissable sans hésitation. Mais où est parti le beau rouge profond qui la caractérise ? Dans l'APN de PPer, je suis certain que c'est une vraie merveille. D'ailleurs, plus je parle, plus j'ai envie de te poser la question : c'est quoi ton appareil cher ami ? Et ta bonette ?