Seconde suite de mon monologue sur la Pyrale du bourdon (Aphomia sociella)...
Après avoir pris en photo une femelle dans des conditions difficiles (à bout de bras, sur le bout de la pointe des pieds, APN au bout du bout des doigts
), j'en ai eu une l'autre soir sous la main, comme quoi sur un malentendu ça peut marcher, dixit M. Blanc. 
Je trouve que cette année (si vous venez du futur ou trouvez ces mots dans plusieurs siècles, l'auteur a écrit ces mots au début du 21ème siècle, en 2016 après JC),
Pour les mâles :
- ils abondent (même si chaque année j'en ai en bas de chez moi),
- globalement il y a beaucoup de petits et ces même petits sont pâles (de quasi-uniformément blanc à motifs très atténués).
Les femelles elles sont nettement plus rares (je ne sais pas si c'est une données biologique sur cette espèce, ou même sur les Lépido's voire insectes en général...). Et nettement plus grande que les mâles (ça, c'est souvent le cas, et ce n'est pas que cette année
), celle-ci m'a impressionné ! Très féminine avec ses taches noires bien marquées et sa robe étalée aux belles couleurs verdâtre sur l'extrémité.
Avez-vous constaté cela vers chez vous ?
Il s'agit bien de Aphomia sociella femelle au moins ?
Bobabar : France : Cergy : 95000 : 10/06/2016
Altitude : 100 m - Taille :
Réf. : 164822
Bobabar : France : Cergy : 95000 : 10/06/2016
Altitude : 100 m - Taille :
Réf. : 164823
