Je pense aussi à gracilipes, qui est une bonne pioche. Elle est en effet nettement plus élancée que superba, ce qui est a priori suffisant. Les édéages des deux espèces sont aussi très différents, et permettent de trancher en cas de doute. Les métafémurs des mâles sont aussi bien différents (de ce côté, il n'y a pas de dimorphisme sexuel chez les mâles comme chez superba)
En revanche pour la sous-espèce, je sais qu'elle existe mais je n'ai pas la moindre info.
merci Dom.
Dans le Beinhundner il différencie la ssp gracilipes gracilipes Moser, 1908 (RDC, RCA) de gracilipes septentrionalis Antoine, 1996 (Cameroun).
Les différence de l'habitus ne sont pas flagrantes...
Bobal a écrit : samedi 4 avril 2020, 8:57
Dans le Beinhundner ...
Tu parles bien du bouquin qui pèse trois tonnes ?
J'ai ressorti la description originale de la ssp par Antoine :
Ce taxon se distingue de Caelorrhina gracilipes gracilipes par les caractères
suivants : métatibias du mâle plus épais, présentant à la base de la marge
interne soit une forte sinuosité (mâle mineur), soit une dent (mâle majeur) (Fig. Sa
et Sb); lobes apicaux des paramères moins larges et plus arrondis (Fig. 9a et 9b ).
La forme exacte de la déformation de la marge interne est variable : elle est
d'autant plus marquée que la taille du spécimen est plus importante et que l'origine
est plus occidentale.