Les espèces qui régressent dans l'ombre
Animateurs : Gyp', PPer, totor, bobabar, Noisette
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- Membre confirmé
- Enregistré le : vendredi 24 février 2006, 14:31
- Localisation : Lerouville (55)
Difficile de te dire que tu te trompe entomoman.
l'exemple de Limenitis populi m'interresse car au sud de la Lorraine la grande tempete de 1999 à fait un grand menage dans les forets et chose curieuse.....le tremble repousse en masse à des endroits ou il etait quasi inexistant. j'espere donc que ces sylvains en profiteront.
l'exemple de Limenitis populi m'interresse car au sud de la Lorraine la grande tempete de 1999 à fait un grand menage dans les forets et chose curieuse.....le tremble repousse en masse à des endroits ou il etait quasi inexistant. j'espere donc que ces sylvains en profiteront.
JCH
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- Membre confirmé
- Enregistré le : mardi 14 février 2006, 0:57
- Localisation : entre Rennes et Nantes
Bonjour,
j'aurais voulu savoir, JPV, ou les autres, si vous aviez des ref de publis concernant ce fait (à propos des Satyridae ou d'autres espèces des milieux oligotrophes) :
Merci d'avance
Franck
j'aurais voulu savoir, JPV, ou les autres, si vous aviez des ref de publis concernant ce fait (à propos des Satyridae ou d'autres espèces des milieux oligotrophes) :
Ca m'intéresse beaucoup dans ma région, la Bretagne, où je constate effectivement l'eutrophisation petit à petit de plusieurs landes et la régression d'espèces comme N. statilinus (moins fréquent et/ou moins abondant sur certains sites de landes sèches du sud35 et de l'est56 je trouve.Pire encore, la « bonne » graminée pourra se révéler impropre à la nutrition parce qu elle aura accumulé un peu trop d’azote dans ses tissus. C’est le cas des graminées des pelouses maigres qui d’ailleurs abritent le plus d’espèces de Satyridae . Là aussi le phénomène est facile à vérifier par l’élevage
Merci d'avance
Franck
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- Membre
- Enregistré le : dimanche 5 février 2006, 14:23
- Localisation : Sarthe
Toujours dans la Sarthe et pour continuer le propos Rodlophe nous ajouterions Le Limenitis populi.
Ce lepido que nous recherchons activement à disparu mais subsite encore dans le nord du département.
Cordialement
Jean-Louis (La Tribu)
Ce lepido que nous recherchons activement à disparu mais subsite encore dans le nord du département.
Cordialement
Jean-Louis (La Tribu)
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- Membre confirmé
- Enregistré le : samedi 25 novembre 2006, 16:18
- Localisation : Drôme
Je prend cette discussion en route. Je me pose la même question que Sergio pour le morio, Nymphalis antiopa : voir la carte de la DrômeSergio 26 a écrit : pour ma situation en nord Drôme :
N.antiopa de plus en plus rare depuis les années 80
Sergio

Je n'ai pas d'explication sur cette dégradation et je ne sais pas si le même phénomène a été observé ailleurs


JM
La faune de la Drôme vous plait ? ... cliquez sur MP.
L’Animalcule Libellule, Bidule des Campanules, Copule dans la Canicule, au milieu des Fuligules. Son Ovule Tintinnabule, il ne lui manque pas une Virgule.
L’Animalcule Libellule, Bidule des Campanules, Copule dans la Canicule, au milieu des Fuligules. Son Ovule Tintinnabule, il ne lui manque pas une Virgule.
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- Membre confirmé
- Enregistré le : jeudi 28 septembre 2006, 17:31
- Localisation : Drôme
salut Jean-Michel, et chose etonnante il parait disparu autant en plaine qu'en montagne mystère !!! alors que dans les années 70/80 on le voyait régulierement dans de nombreux biotopes apres hivernage ; le morio supporte peut-etre mal les années tres chaudes une hypothèse ;
en tout cas il faudrait avoir des avis pour d'autres regions du sud.
Sergio
en tout cas il faudrait avoir des avis pour d'autres regions du sud.
Sergio
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- Animateur—Admin-galerie
- Enregistré le : vendredi 22 avril 2005, 17:34
- Localisation : MIDI-PYRENEES (sud-Occitanie).
Dans les départements de l'Ariège (09), de l'Aude (11) et des P.O. (66), il me semble être aussi en régression ces dernières années ..... ceci étant très subjectif de ma part ..
L'imago est quand-même un insecte qui adore l'humidité et dont les chenilles se nourrissent préférentiellement de feuillage de Salix sp. et de Betula sp. qui aiment, eux aussi les zones humides.
Il est possible que les 3 dernières années de sécheresse y soient pour quelquechose ..
Les milieux, même en montagne, sont bien plus secs qu'il y a ne serait-ce que 5 ou 6 ans en arrière ......
P.S.: Heiko BELLMANN écrivait en 2003 "Les très fortes fluctuations populationnelles du Morio d'une année sur l'autre sont sans doute imputables aux variations du taux de parasitisme (qui affecte les chenilles)"

L'
Il est possible que les 3 dernières années de sécheresse y soient pour quelquechose ..

Les milieux, même en montagne, sont bien plus secs qu'il y a ne serait-ce que 5 ou 6 ans en arrière ......

P.S.: Heiko BELLMANN écrivait en 2003 "Les très fortes fluctuations populationnelles du Morio d'une année sur l'autre sont sans doute imputables aux variations du taux de parasitisme (qui affecte les chenilles)"
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
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- Membre
- Enregistré le : jeudi 20 juillet 2006, 17:26
- Localisation : Eure et loir
moi je note que dans l'oise, sur un meme site, inachis io à été tres abondant en 2006, alors que aglais urticae est en tres net regression.
en eure et loir, aglais urticae également tres rare. Par contre sa grande soeur N.Polychloros est tres commune cette année alors que je n'en avais pas observé l'année dernière. (peut-etre que mes cerisiers y sont pour quelques chose?
)
Je suis toujours à la recherche de mon premier N.antiopa (jamais vue dans l'oise et eure et loir). Peut-etre samedi en foret de rambouillet...
en eure et loir, aglais urticae également tres rare. Par contre sa grande soeur N.Polychloros est tres commune cette année alors que je n'en avais pas observé l'année dernière. (peut-etre que mes cerisiers y sont pour quelques chose?

Je suis toujours à la recherche de mon premier N.antiopa (jamais vue dans l'oise et eure et loir). Peut-etre samedi en foret de rambouillet...
Stef dit WOODMAN
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- Membre confirmé
- Enregistré le : mercredi 20 décembre 2006, 22:20
- Localisation : Yvelines
Même constat que toi, voisin !
Oui, à Rambouillet tu as une petite chance d'apercevoir antiopa le long des cours d'eau...
Sinon, en allant plus vers la Sologne, il est plus commun.
Iron Moth
Oui, à Rambouillet tu as une petite chance d'apercevoir antiopa le long des cours d'eau...
Sinon, en allant plus vers la Sologne, il est plus commun.
Iron Moth
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- Membre confirmé
- Enregistré le : dimanche 17 septembre 2006, 11:05
- Localisation : Arc-et-Senans (25)
Moi j'ai souvenir d'avoir observé gamin (mettons vers 1990) un Nymphalis antiopa sur des fruits bien mûrs sur le balcon de mes parents (Morteau, 25)... Je ne m'intéressais alors pourtant fort peu aux papillons... Depuis que je prospecte, disons depuis 2002, je n'ai croisé qu'une fois le morio en Franche-Comté, où il paraît aujourd'hui très rare...
Peut-être est-ce les parasites des chenilles qui sont favorisés par les années sèches ???? 



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- Membre confirmé
- Enregistré le : dimanche 7 mars 2004, 13:00
- Localisation : Mézières-en-Drouais, Eure-et-Loir
Morio
A mon grand étonnement, j'en ai vu un passer dans mon jardin (Essonne) l'année dernière. Sinon, c'est dans le Cantal que je l'ai rencontré le plus souvent, lors de séjours de vacances.
C'est toujours un ravissement de pouvoir admirer cette merveille et je crois bien (vous l'aurez peut-être compris à certains indices...
) que c'est l'un de mes papillons préférés... 
C'est toujours un ravissement de pouvoir admirer cette merveille et je crois bien (vous l'aurez peut-être compris à certains indices...


Jean-Yves