J'apporte une précision par rapport à ce que j'avais écrit supra.
On peut négliger les parasites, qui sont bien différents de ce que l'on a ici comme imago.
Restent les 4 inquilines, qui sont 4 Synergus : S. albipes, S. crassicornis, S. gallaepomiformis et S. nervosus.
Et là, cela demande de lire très attentivement les descriptions qu'en donne Robin WILLIAMS (2010) en pages A95 à A102 et en les comparant avec la description d'Andricus curvator pages A4 et A12.
Emilien, l'as-tu déjà fait ? Personnellement, j'ai du mal à voir les différences.
Non, Lauzette.
Emilien se demande si son insecte n'est pas A. curvator, mais il convient d'envisager également les quatre Synergus que j'ai cités. Une étude approfondie est nécessaire.
[mode blagueur] pour moi aussi, mes connaissances sont très limitées et mes documentations proviennent d'internet ...
Mais j'essaie de lire, de comparer, d'observer etc.
Le document de base est
WILLIAMS, R. – 2010. Oak-galls in Britain. Vanellus Publications. Vol. 1 Identification and keys, 233 pages et Vol. 2. Appendices, 231 pages.
J'en ai déjà parlé. Les deux tomes sont payants, mais en cherchant bien, on arrive à en trouver les PDF.
WILLIAMS a fait du bon boulot !
Dans le tome 2, tu as en page A4 les caractères du genre Andricus et en page A104 ceux du genre Synergus.
C'est donc la première étape : discerner s'il s'agit de l'auteur de la galle ou d'une des quatre inquilines.