[Heliophanus sp.] Heliophanus un peu trop rapide.

[Dip]

H. auratus a, en principe, les pattes jaunes, sauf le fémur...

En fait, j'ai pas mal essayé de tirer quelque chose des pattes de ces deux espèces et je ne suis pas arrivé à trouver même des tendances.
Cette phrase marche bien pour les bêtes de ton site, mais si on prend par exemple le site des Salticidés du Dr Metzner, les pages des Heliophanus auratus et des Heliophanus cupreus indiqueraient même plutôt l'inverse (ne considérer que les mâles et que la colonne du milieu des vues signées; à droite, l'identification provient des internautes). Curieusement, la couleur verdâtre voire rougeâtre des uns (auratus), et noire des autres (cupreus) permet par contre d'y distinguer les deux espèces - tout comme autour de chez moi (je n'en ferais pas une généralité).
Et pour cette bête, j'avoue que je ne vois pas.
Didier.

[vincesap]

Merci en tout cas à tous d'avoir essayer de déméler tout ça. Si dans ma colec perso (je ne vais bien sûr pas enregistré mes MAGNIFIQUES photos en galerie ) je note Heliophanus auratus / cupreus, je suis dans le vrai quand même ?

[Pierre55]

@Didier : oui, je vois que ce principe ne semble pas aussi évident à première vue... On s'en tiendra donc à 'sp'

@Vincent : oui à ta question. Et la prochaine fois (mais je sais que ce n'est pas facile avec ces bestioles sautillantes), essaie de prendre une photo de profil car les apophyses parlent parfois d'elles-mêmes

[vincesap]

Merci, je m'en souviendrai. Avec le matériel photographique que j'ai, dans le cas très précis de cette famille des Salticidae, c'est effectivement très compliqué : j'ai un bridge, un bon appareil équipé d'une bonne fonction macro et d'un mode qu'il appelle "super macro" qui permet de prendre des vues très rapprochées. C'est avec ce mode que j'ai fait notamment ma photo de Xysticus ulmi d'il y a quelques jours. Le problème est que, pour utiliser ce mode, il faut mettre la focale au minimum (28mm) et donc se trouver à quelques centimètres seulement du sujet photographier. Quand la bête est immobile et non craintive (chenilles par exemple), pas de soucis, je peux m'approcher à 1cm si la luminosité le permet. Par contre, quand on a à faire à des bestioles qui ont une aussi bonne vue, impossible d'approcher l'appareil suffisament. L'approche est tout à fait différente avec un bon réflexe et l'objectif qui va bien, où on peut faire une bonne macro à 50 cm du sujet. Mais bon, je suis du genre tenace, je réessaierai ^^