Toujours ma balade nostalgique dans mes anciennes balades en montagne. Désolée pour la qualité dégueu de l'image : non seulement c'est une diapo scannée, mais j'avais acheté des pelloches Agfa qui se sont révélées (trop tard, bien sûr, au retour à la maison, loin de la montagne) avoir une qualité absolument lamentable. Toutes les photos sont pâles et manquent de piqué. Tant pis.
Catherine Reymonet : France : Pralognan-la-Vanoise : 73710 : août 1983
Altitude : 1800 m - Taille : hmm... Réf. : 196782
C'est bien l'Apollon et pas l'autre ?
Modifié en dernier par lauzette le lundi 4 décembre 2017, 13:30, modifié 1 fois.
Aime-toi, le ciel t’aimera Despise not the weak : the gnat stings the eyes of the lion.
"L'autre" a les antennes annelées de noir (même si cette photo n'est pas très nette) et présente souvent un peu de rouge dans le noir des AA ..
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
C'est marrant... Les photos hivernales que je prends ont les mêmes tonalités fadasses....
J'espère le croiser, rapidement... Lui et ses cousins.... En 2018, qui sait ????
Il y a deux jours, je me suis rendu compte que le genre était plus diversifié que je l'aurais cru.... 35 minimum.... Alors que pour moi, il n'y en avait que 2 ou 3....
Gyp' a écrit : lundi 4 décembre 2017, 10:16
Oui, c'est bien un P. apollo(je pense).
Tu vois à quoi que c'est un mâle ?
Pascal BEZE a écrit : lundi 4 décembre 2017, 10:33
La photo est presque aussi ancienne que moi....
Ne remue pas le couteau dans la plaie
C'est marrant... Les photos hivernales que je prends ont les mêmes tonalités fadasses....
Ben là, c'était le plein été et les photos prises avec des pelloches Fuji (mes préférées) avaient des couleurs bien claquantes. J'ai vraiment les boules, surtout que je n'y suis jamais retournée et que je n'y retournerai sans doute jamais
Aime-toi, le ciel t’aimera Despise not the weak : the gnat stings the eyes of the lion.
Gyp' a écrit : lundi 4 décembre 2017, 10:16
Oui, c'est bien un P. apollo(je pense).
Tu vois à quoi que c'est un mâle ?
Pascal BEZE a écrit : lundi 4 décembre 2017, 10:33
La photo est presque aussi ancienne que moi....
Ne remue pas le couteau dans la plaie
C'est marrant... Les photos hivernales que je prends ont les mêmes tonalités fadasses....
Ben là, c'était le plein été et les photos prises avec des pelloches Fuji (mes préférées) avaient des couleurs bien claquantes. J'ai vraiment les boules, surtout que je n'y suis jamais retournée et que je n'y retournerai sans doute jamais
Si c'est juste pour reprendre un RDV photographique avec un Appolon, il doit bien en avoir au Sud de votre département....
Je suis allé, cet été, en Savoie, au 15 août, et il ne s'est même pas montré.... Pourtant, je l'avais placé en haut de ma liste des espèces que je souhaitais voir.
lauzette a écrit : lundi 4 décembre 2017, 10:52
Tu vois à quoi que c'est un mâle ?
Les ailes sont bien recouvertes d'écailles blanches, contrairement à la femelle chez qui il y a normalement des grandes zones hyalines.
Pascal BEZE a écrit : lundi 4 décembre 2017, 10:33
J'espère le croiser, rapidement... Lui et ses cousins.... En 2018, qui sait ????
Pour le grand Apollon, pas forcément besoin de monter très très haut. Au dessus de 1000 m on le croise facilement dans les Alpes ou les pré-Alpes, et il peut même descendre jusqu'à 400 m selon Lafranchis. Pour les autres (que je n'ai encore jamais vus non plus) c'est moins évident de les trouver. Le petit, faut le chercher autour de torrents où il y a sa plante hôte (saxifrage faux-aizoon). Le semi vole plus tôt que les autres, plutôt au printemps.
Le Paon du jour n'est dans aucune citation célèbre.
Axel :)
inachis ax a écrit : lundi 4 décembre 2017, 13:05
Pour le grand Apollon, pas forcément besoin de monter très très haut. Au dessus de 1000 m on le croise facilement dans les Alpes ou les pré-Alpes, et il peut même descendre jusqu'à 400 m selon Lafranchis. Pour les autres (que je n'ai encore jamais vus non plus) c'est moins évident de les trouver. Le petit, faut le chercher autour de torrents où il y a sa plante hôte (saxifrage faux-aizoon). Le semi vole plus tôt que les autres, plutôt au printemps.
Pour préciser un peu, P. apollo affectionne les milieux ouverts fleuris jouxtant des éboulis (les fleurs c'est pour butiner, les éboulis c'est pour les Sedum où pondre).
Axel a tout dit ou presque pour P. phoebus. Pour P. mnemosyne, c'est effectivement dès fin mai - début juin, dans des alpages mais assez souvent au voisinage de bois de hêtres, dans le sous-bois desquels poussent les Corydales.
Ce sont des papillons qui, généralement, ne volent que par grand soleil (qu'ils adorent) :
Dès qu'un nuage assombrit le ciel, ils se laissent descendre dans la végétation en attendant une éclaircie !
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.