Nous tenons particulièrement à remercier mesdames et messieurs Protaetia lugibris et aeruginosa car sans eux et le don de leur personne, cet élevage n’aurait pas réussi.
Lacon a écrit :Rhôôôôôôôô, les pauvres jolies cétoines ...
C'est que ça bouffe, les mégères !
Si ce n'avait été que des mégères, je n'aurais pas pris la peine de les élever. On en prend des tas au piège interception. Ici, c'est de loin le plus rare du genre Brachygonus.
Jean-Ed de la Quenouille a écrit :Si ce n'avait été que des mégères, je n'aurais pas pris la peine de les élever. On en prend des tas au piège interception. Ici, c'est de loin le plus rare du genre Brachygonus.
Du moins, on ne sait pas la fréquence du nouveau venu (qui est à priori le seul que je n'ai pas)
comment savais-tu avant l'élevage que tu avais à faire à du dubius ?
Sat'
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
Saturnin de la Poire a écrit :Brachygonus campadellii (article de Delnatte, Van Meer, Brustel et Coache, publié dans Rare en 2011)
Celui-là, il est très commun en Ardèche.
Saturnin de la Poire a écrit :
Jean-Ed de la Quenouille a écrit :Si ce n'avait été que des mégères, je n'aurais pas pris la peine de les élever. On en prend des tas au piège interception. Ici, c'est de loin le plus rare du genre Brachygonus.
Du moins, on ne sait pas la fréquence du nouveau venu (qui est à priori le seul que je n'ai pas)
comment savais-tu avant l'élevage que tu avais à faire à du dubius ?
Parce que le piège inter que j'avais posé devant cette cavité n'avait donné que du dubius.