Sympas comme photos d'autant plus que c'est une bonne bête photogénique et reconnaissable entre toutes.
Malpertuis, tu vas réussir à intégrer ton projet dans la base Le seul défaut c'est la différence de couleur que je note entre les photos nature et celle de ta collection.
Je rebondis un peu ici par rapport à ce genre de photo.
Si vous voulez qu'elles soient exploitables sur la galerie, utilisez la dimension maxi autorisée par la galerie : 1499x1499 px.
Celle ci ne fait que 397px × 573px ce qui rend le texte quasi illisible.
Normalement, en travaillant un peu les photos, elles doivent pouvoir attendre cette taille sans dépasser les 220Ko autorisés.
Nicolas KOMEZA a écrit : Le seul défaut c'est la différence de couleur que je note entre les photos nature et celle de ta collection.
Bien d'accord avec toi, faut dire aussi que celles prises in vivo ont subi pas mal de manipulations car venant du déjà lointain système argentique,dias tirées sur papier, scannées pour finir dans un contexte numérique. La dominante bleue des deux premières photos a quand même été atténuée dans la composition finale.
Pour répondre à la question de redimensionement je ne peux plus éditer pour corriger. La remarque de Machari... était judicieuse je tâcherai dorénavant d'améliorer le compromis dimensions versus poids. (finalemnt c'est 150 ou 220 K le maximum autorisé ?)
En fait j'ai trouvé un coin où Platystomos albinus abonde et du coup j'avoue que la question ne se pose plus, on les différencie bien au premier coup d'oeil.
En revanche si j'ai pu constater hier que la différence de longueur des antennes est vraiment importante pour Platystomos albinus entre le et la , est-ce que c'est aussi valable pour Platyrhinus resinosus ? J'ai l'impression qu'ils ont tous les antennes de la même taille mais peut-être que je n'ai tout simplement jamais croisé de mâle ?
Et chez Platyrhinus resinosus, existe-t-il un caractère morphologique externe qui permette, lorsqu'on tombe sur un individu isolé, de déterminer s'il s'agit d'un mâle ou d'une femelle ?
Prendre son courage à deux mains, c'est toujours plus facile, lorsqu'on est ambidextre.
Comme chez les bipèdes, le mâle est plus svelte et la femelle plus massive. Les antennes du M sont subégales à la longueur du corps, celles de la F dépassent à peine la moitié de la longueur du corps.
Heureux qui, comme le fleuve, suit son cours sans quitter son lit