DUBOIS Yves : France : Miribel : 01700 : 01/09/2018
Altitude : 173 m - Taille : non mesurée <1 cm Réf. : 213779
Je suppose qu'il s'agit d'une coccinelle.
Sans comprendre si c'est un changement de stade larvaire, ou bien de l'émergence d'un imago (je penche quand même pour la première hypothèse)
Par contre mes "recherches" ne m'ont pas permis de déterminer l'espèce
Vous pouvez m'aider
Cordialement
Yves
Jolies photos Il s'agit de la nymphose, la larve se transforme en nymphe, dernier stade avant l'imago. Pour l'espèce, ça ressemble à une très grosse coccinelle, mais n'en est pas une Elle aime le peuplier
yves dubois a écrit : dimanche 2 septembre 2018, 8:34Melasoma populi ...
Chrysomela populi maintenant.
Mais pour moi il y a plusieurs candidates possibles, notamment C. populi et C. tremulae, qui plus est souvent sympatriques: les adultes de l'une pourraient donc être vus avec les larves de l'autre
Chrysomela tremula ... sans e à la fin dans la galerie (comme pour l'INPN, mais avec un e pour fauna-eu)
d'ailleurs, certains posts sur le forum sont avec un e.
par exemple : viewtopic.php?t=142172
Bref ...
Ce sont bien des imagos de populi qui côtoyaient ces émergences (3 émergences et 4 imagos)
et pour l'imago que j'ai photographié ... tout neuf !
Modifié en dernier par yves dubois le dimanche 2 septembre 2018, 10:26, modifié 1 fois.
en fait ma seule photo d'imago ne permet pas d'être certain (tarses peu exploitables)
mais aucun obscurcissement à l'apex des élytres.
sur un peuplier
ceci mériterait un autre post ... mais comme je pars, Causse Méjean demain, je n'aurai pas le temps
Oui, ces émergences étaient sur ce qui semble un petit saule.
Par contre, les imagos étaient bien sur un peuplier (en fait un arbuste) et grignotaient les feuilles.
ces 2 "arbustes" se mêlaient.
C'est un endroit où la taille (entretien) est fréquente : parc urbain de Miribel-Jonage.
Vanderbergh pense à Chrysomela vigintipunctata qui se développe sur le saules, mais populi est également possible sur cette plante hôte. Aussi je pense que nous en resterons au genre