"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Généralement le rugifrons est vert métallique ou parfois noir sur le dessus du corps !
Alors, ce spécimen n'est-il pas plutôt bronzé, regarde les intervalles de la ponctuation élytrale ...
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Alors, si l'élytre est mat entre la ponctuation, tu ne peux pas te tromper !
Le reflet de l'élytre me semble bronzé métallique, bien loin du vert métallique du rugifrons ...
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
oui parfaitement ! : Hypocaccus (Hypocaccus) brasiliensis(Paykull, 1811).
Commun sur le littoral de la méditerranée, demande confirmation ailleurs.
Donc, mat entre la ponctuation élytrale et le corps bronzé !
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Mon cher auronitens63,
notre ami Cédric fait une très bonne suggestion dans un autre post, à savoir qu'il faut vérifier l'identification, notamment par la micro-réticulation entre les points de l'élytre pour confirmer l'espèce.
C'est simple à voir : mat ou chagriné entre les points de l'élytre = brasiliensis ; brillant entre les points de l'élytre = rugifrons.
-Je pense qu'en examinant ta photo, la couleur bronzé et la présence présumée d'une micro-réticulation entre les points, c'est bien du brasiliensis...
Alors, peux-tu confirmer ce caractère
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)