Si j'en juge à la rosâtritude du support sur lequel est photographiée la bestiole, Gyp doit être en train de tenter de parfaire son bronzage ariégeois.
C'est vrai que dans le Hoffmann, il n'y a pas des wagons de
Baris squamulés. J'arrive à
Baris scolopacea, devenu par les miracles de l'évolution taxinomiesque
Cosmobaris scolopacea. C'est bien ça ?
Mais l'indice laissé par Cocoléo me laisse perplexe, pas l'ombre d'un poil de bec de bécasse dans le Hoffmann
