Face à ce silence... assez déconcertant, j'ai consulté l'ouvrage de P. Berger, qu'il m'avait gentiment offert. Mais, comme je m'en doutais, je ne suis pas capable de décrypter les indications dont il fourmille, sur les deux espèces potentielles.
J'ai toutefois noté que
C. glaucus est surtout présent dans le Var, que la femelle est vert sombre, que le mâle a des taches variables, que le dessin le montre avec un liseré clair, entre le
thorax et les
élytres, et que la longueur indiquée pour les antennes me semble compatible avec son sexe. Ensuite, il y a des indications sur les détails de la face que je ne comprends pas.
Renseignements pris, auprès de mon fournisseur, il y a quelques années, pour une autre bestiole, le point important à vous signaler, c'est que mon bois de chauffage provient du Var.
A contrario, la disposition des taches et la couleur des pattes semblent plus coller avec
C. glabromaculatus ; mais toujours un mâle, vu la longueur des antennes.
Donc, même si personne n'accepte de l'examiner, pour confirmation, il me semble que l'on pourrait en faire un
Chlorophorus glabromaculatus 
, très probable, plutôt que le
Chlorophorus sp. actuellement validé pour l'image en galerie.
... Pierre.