inachis ax a écrit :Merci pour les explications.
Vu que j'ai l'impression de ne trouver ce type de blatte que depuis 2 ans, je me demande s'il pourrait s'agir d'une espèce étrangère introduite (accidentellement ?) en France il y a quelques années, dont le climat français lui convient (on a déjà vu ça avec Harmonia axyridis et Leptoglossus occidentalis). Vu qu'il y a surement très peu de spécialistes des blattes en France, peut-être que ces nouvelles blattes sont passées inaperçues au milieu des E. pallidus qui leur ressemblent à 1ère vue. Je dis ça parce que j'ai l'impression qu'aucune espèce française connue actuellement correspond à ma blatte.
Je ne crois pas à une introduction accidentelle des
Ectobius: véhiculé par chose? ou de qui ou comme?
Simplement, il pourrait se traiter d'une explosion démographique d'une population déjà présent
Cette année j'ai observé, ici près, une explosion démographique d'une très petite population d'Ectobius pallidus: ils sont réellement beaucoup!
La haute variabilité chromatique a porté, dans le temps, beaucoup de synonymies et, parfois, aussi le seul examen extérieur de la
fossette glandulaire, espèce-spécifique parce qu'elle a un rôle très important dans le
courtisement (est correct "courtisement"? en italien "corteggiamento"

), n'est pas suffisant pour discriminer les espèces .
Par exemple, en examinant l'étendue ou moins de la partie intérieure de la
fossette glandulaire, on a peu découvrir nouvelles espèces pour la Science (voir surtout les travaux de Failla et Messina).
Encore: Bohn a introduit autres caractères très intéressants, intérieurs, liés à l'apparat reproducteur des mâles et des femelles.
Au Musée de Paris il pourrait être quelqu'un qui peut nous aider.
Ciao,
Livio