Sur le même étang nous avons L. abifrons et caudalis.
Cet étang est pratiquement dépourvu de végétation flottante (sauf des masses "d'algues" ?) qui doit inciter les mâles à se poser au sol, ou sur la végétation rivulaire.
Malheureusement, ni le ciment ni le rocher sur lequel elle s'est assez longuement posée ne font agréables au photographe...


Ici on voit que les ptérostigmas sont bruns par en dessous, blanchâtres sur une vue supérieure.

Elle a le "nez" enfoncé; c'est l'occasion de rappeler à nouveau la présence des sacs aériens... il y en a aussi derrière la face.

Maine et Loire, le 26 mai 2012.
La dernière photo permet de voir la caractéristique de la veination qui la distingue des autres leucorrhines: 2 veines
(Merci de me signaler si le message n'est pas trop long à chercher, je dois être limite en poids, Ko..)