Après avoir été très déçu par le comportement irrationnel des femelles de calopteryx quant à la position de leurs pseudoptérostigmas, je vais me consacrer à une étude exhaustive de la coloration de la suture interpleurale des femelles Ischnura elegans "rufescens obsoleta" en fonction du nombre d'épines des pattes antérieures.
Et réciproquement.
(Hé, hé, on la voit bien ici aussi la crête sur le S10 du mâle, non?)
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.