Comme le souligne Gyp, ces variations sur le nombre des
ocelles des Satyridae sont excéssivement fréquentes et surement polygéniques, c'est à dire que leur expression dépend de plusieurs
gènes ce qui donne des combinaisons trés nombreuses auxquelles s'ajoutent les variations dues aux contraintes du milieu (froid, chaud, sec, humide...) qui modulent l'expression de ces
gènes.
Efectivement de là à tout vouloir nommer

. seules les variations extrèmes méritent d'être prises en considération.