Nombre de photo en galerie, par année de prise de vue :
2005 : 4
2006 : 8
2007 : 13
2008 : 9
2009 : 3
2010 : 3
2011 : 9, au 4 mai !
Peut-être le beau temps favorise t-il les sorties dans la nature et donc les contacts avec l'insecte dans la période des émergences lorsqu'il sont le plus nombreux.
Par ailleurs, ils sont plus précoces cette année. Du coup, dans la galerie, quasi la moitié des photos faites en avril sont de cette année.
Autre explication : il y a de moins en moins (en proportion) de naturalistes (qui ne postent presque plus jamais cette espèce) et de plus en plus de photographes qui viennent chercher confirmation de l'identité d'un beau sujet
A vingt ans, je n'avais en tête que l'extermination des vieux; je persiste à la croire urgente mais j'y ajouterais maintenant celle des jeunes; avec l'âge on a une vision plus complète des choses (Cioran)
En fait à Grasse je cherchais les rapaces, en altitude , avec un Nikon D90 objectif 80-400mm avec lequel j'ai fait une photo de libelloides, bien sur j'ai du prendre un peu de recul sans jamais atteindre la qualité d'un objectif macro.
Sur la galerie devrait-on indiquer les caractéristiques du matériel photographique utilisé ?
jean-claude jamoulle a écrit :
Sur la galerie devrait-on indiquer les caractéristiques du matériel photographique utilisé ?
Que ça n'apporterait rien d'un point de vue entomologique. Si les gens sont intéressés par le cliché plutôt que par la bête, il peuvent contacter l'auteur pour en savoir plus.
En revanche, ce qui serait intéressant, c'est de demander des informations sur le biotope de l'insecte, trop rarement évoqué...
A vingt ans, je n'avais en tête que l'extermination des vieux; je persiste à la croire urgente mais j'y ajouterais maintenant celle des jeunes; avec l'âge on a une vision plus complète des choses (Cioran)
D'accord pour le biotope , pour le matériel , un choix optimisé conduisant à une bonne photo, peut aider à paufiner ses observations entomologiques et la justesse des identifications, sans sacrifier le specimen.