En même temps il est vrai que le Gard n'est pas spécialement riche lorsque l'on quitte les Cevennes...
Ca me fait penser à la tristesse que j'ai ressenti lorsque j'ai quitter la Picardie pour rejoindre ce département (pour le soleil et les insectes ! ) : ma première "chasse" nocturne fut décevante au printemps dans les garrigues gardoises (malgrés la température, l'absence de lune...) alors qu'un mois de mai en lisière forestière picarde garantie une foule incroyable d'hétérocères...
M'enfin, la chance d'observer couramment
Zerinthia rumina, moins couramment
Zerinthia polyxena, et même le magnifique
Charaxes jasius jusque dans la ville nîmoise vaut le détour...
Et que dire de banalités comme
Z. rhadamanthus, ou encore
M. quercus... finalement le Gard c'est pas si mal ! Et il y a tent d'espèces à retrouver dans les Cévennes, si sauvages, si contrastées au niveau climato... Ca vaut bien le Roussillon et son si beau
E. desfontainii !
