Bonjour,
Sur vieille souche de chêne. Je pense que c'est un Paromalus.
Peut-on en dire plus?
Merci!
Micheleh : France : Ogeu les Bains : 64680 : 05/07/2020
Altitude : 250 m - Taille : 2 mm
Réf. : 262242
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[Paromalus sp.] Paroles paroles paroles
Animateur : Lysbeth d'Alys
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- Membre
- Enregistré le : jeudi 10 octobre 2013, 18:44
- Localisation : landes
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- Membre confirmé
- Enregistré le : lundi 9 mai 2011, 23:24
- Localisation : Narbonne Aude (France)
Paroles paroles paroles
Bonjour,
Paromalus oui. parallepipedus ? Michel est sur le forum. Il ne va pas tarder à arriver... A bientôt.
Paromalus oui. parallepipedus ? Michel est sur le forum. Il ne va pas tarder à arriver... A bientôt.
- SECQ Michel
- Membre confirmé
- Enregistré le : mercredi 8 janvier 2014, 21:30
- Localisation : Dordogne, Montcaret
Paroles paroles paroles
Bonjour micheleh, oui Robert j'arrive
pas de problème pour que ton spécimen se rapporte à un Histeridae du genre Paromalus Er.
Avec ce corps fortement allongé, il s'agit de Paromalus (Paromalus) parallelepipedus (Herbst, 1791).
Encore qu'il est préférable d'observer la sculpture dupygidium des femelles avant de proposer une identification,
car la forme du corps de P. flavicornis & de P. parallelepipedus est variable selon que c'est un mâle ou une femelle,
lire ce que je dis ici : viewtopic.php?f=1&t=170495&hilit=Paromalus
--P. parallelepipedus dédaigne les écorces de feuillus morts mais sa présence est possible, par contre il se trouve en grand nombre sous les écorces de résineux et en particulier dans le Pinus. Son petit frère P. flavicornis préfère de loin les écorces de feuillus...
pas de problème pour que ton spécimen se rapporte à un Histeridae du genre Paromalus Er.
Avec ce corps fortement allongé, il s'agit de Paromalus (Paromalus) parallelepipedus (Herbst, 1791).
Encore qu'il est préférable d'observer la sculpture du
car la forme du corps de P. flavicornis & de P. parallelepipedus est variable selon que c'est un mâle ou une femelle,
lire ce que je dis ici : viewtopic.php?f=1&t=170495&hilit=Paromalus
--P. parallelepipedus dédaigne les écorces de feuillus morts mais sa présence est possible, par contre il se trouve en grand nombre sous les écorces de résineux et en particulier dans le Pinus. Son petit frère P. flavicornis préfère de loin les écorces de feuillus...
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
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- Enregistré le : jeudi 10 octobre 2013, 18:44
- Localisation : landes
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Merci beaucoup à vous deux. Je craignais qu'on ne puisse pas le nommer avec cette photo.
C'est bizarre, il n'y a pas de résineux à proximité, mais que des feuillus. Il s'est perdu sans doute.
C'est bizarre, il n'y a pas de résineux à proximité, mais que des feuillus. Il s'est perdu sans doute.
- SECQ Michel
- Membre confirmé
- Enregistré le : mercredi 8 janvier 2014, 21:30
- Localisation : Dordogne, Montcaret
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Paromalus (P.) parallelepipedus est bien présent dans les forêts de feuillus, mais il est bien plus compliqué à trouver que Paromalus (P.) flavicornis.
Inversement, P. (P.) flavicornis est plus compliqué à trouver dans les Pinèdes que P. (P.) parallelepipedus.
La détermination sur simple photo n'a pas de valeur scientifique à mes yeux, sauf si les photos proviennent des types ou d'une étude au binoculaire stéréoscopique par un spécialiste. Quant à ta photo et selon mon avis, 95% de chance que ce soit un Paromalus (P.) parallelepipedus, l'erreur est humaine même venant d'un spécialiste, et quand la bête n'a pas pu être contrôlée au binoculaire par le déterminateur, le risque est encore plus grand. Quoi qu'il en soit, la galerie renferme de nombreuses photos qui permettent de se faire une idée et d'orienter les curieux.
Inversement, P. (P.) flavicornis est plus compliqué à trouver dans les Pinèdes que P. (P.) parallelepipedus.
La détermination sur simple photo n'a pas de valeur scientifique à mes yeux, sauf si les photos proviennent des types ou d'une étude au binoculaire stéréoscopique par un spécialiste. Quant à ta photo et selon mon avis, 95% de chance que ce soit un Paromalus (P.) parallelepipedus, l'erreur est humaine même venant d'un spécialiste, et quand la bête n'a pas pu être contrôlée au binoculaire par le déterminateur, le risque est encore plus grand. Quoi qu'il en soit, la galerie renferme de nombreuses photos qui permettent de se faire une idée et d'orienter les curieux.
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
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- Enregistré le : jeudi 10 octobre 2013, 18:44
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[Paromalus sp.] Paroles paroles paroles
Loin de moi l'idée de mettre en doute cette identification, je ne connais absolument pas ces petites bestioles. Je souligne seulement la bizarrerie de la chose pour le premier que je prélève.
Je te remercie de t'être penché sur ma photo et d'avoir satisfait ma curiosité.
Je te remercie de t'être penché sur ma photo et d'avoir satisfait ma curiosité.
- SECQ Michel
- Membre confirmé
- Enregistré le : mercredi 8 janvier 2014, 21:30
- Localisation : Dordogne, Montcaret
[Paromalus sp.] Paroles paroles paroles
Tu pourras souvent rencontrer des Paromalus si tu prospectes régulièrement dans le terreau qui se trouve sous les écorces des arbres morts ou bien si tu tamises les caries. Il y a deux espèces communes (elles ne sont pas grégaires, contrairement aux Plegaderus qui ont un grégarisme souvent constaté) en France selon les essences d'arbres. Une troisième espèce (P. filum) plutôt méridionale est encore mal connue en France. Quant au sous-genre Isolomalus, la faune de France renferme une espèce d'importation (luderti) qui est maintenant bien établie dans le Sud de la France, actuellement recensé de deux localités d'Île-de-France ...
--Cher ami, je n'ai pas de reproche à formuler et encore moins au bon monde de notre Forum, j'évoque simplement ma façon de voir les choses au fur et à mesure que les photographies envahissent le milieu entomologique.
--Cher ami, je n'ai pas de reproche à formuler et encore moins au bon monde de notre Forum, j'évoque simplement ma façon de voir les choses au fur et à mesure que les photographies envahissent le milieu entomologique.
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)