Parmi les "iules" de nos contrées cette espèce se caractérise par le prolongement "bulbeux" du
telson (dernier
tergite), que l'on ne retrouve que chez une autre espèce très grosse et plutôt brun sombre à noir (
C. londinensis). Quant à
C. britannicus il est dépourvu d'un tel prolongement.
Femelle car pour la taille indiquée, l'individu est probablement adulte ou presque, or un mâle n'aurait pas de pattes locomotrices visibles sous le segment 7, en effet. Mais si tu fait référence au polydesme, c'est un peu différent, ici on aurait un "trou", les deux pattes 8 et 9 étant transformées et incluses intégralement dans la lumière du septième anneau.
C'est plutôt une exception parmi les
Julidae de pouvoir aller à l'espèce sans le secours des gonopodes
