Et dans la foulée, un 2ème Orthetrum. A priori, celui-là, je l'identifierai comme Orthetrum africanum, mais comme c'est ma 1ère rencontre, je souhaiterai confirmation, merci
Jean Delannoy : Sénégal : Koussan : 0000 : 20/08/2015
Je ne pense pas qu'il s'agisse d'O. africanum qui présente un rétrécissement très marqué de l'abdomen vers S3-S4 que l'on ne voit pas ici. De plus, la couleur des pterostigma ne plaide pas non plus pour O. africanum.
Je suis aussi d'accord avec Timad. O. africanum, c'est un peu la version africaine de O. sabina, avec un abdomen extrêmement mince, long et dilaté sur les premières segments.
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.
Je n'y arrive pas, j'ai même essayé les Trithemis mais cela ne colle pas, je pense, pour la couleur des yeux et la grande taille des ptérostigmas.
Il y a plusieurs de candidats possibles parmi les Orthetrum si on suppose que c'est sans doute un individu assez âgé et que la pruine couvre d'éventuelles marques distinctives.
Je vais demander à K.D.
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.
Bon j'ai eu la réponse en 3 minutes, très surprenante pour moi car je n'avais que la photo d'un jeune sujet; c'est Orthetrum angustiventre. Je pense que les très grands ptérostigmas clairs doivent bien aider... quand on connaît
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.
Merci Benoit et merci KD !!
Je n'arrivais à rien non plus (à part Orthetrum !). Je trouvais bien ce qu'il ne pouvait pas être mais je ne trouvais pas ce qu'il pouvait être
Pour ce qui est des colles tu peux y aller tu risques de nous coller pas mal de fois! Mais au moins on a le plaisir de chercher et d'apprendre, d'ailleurs... je rajoute juste que j'ai trouvé étonnant le nom d'espèce "angustiventre", j'ai donc fait une recherche et "angust" en latin signifie "étroit", et "ventre étroit", ça lui va bien, en effet.
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.