Moi j'en reste à Polyommatus sp.
C'est soit P. coridon, soit P. hispanus ou éventuellement P. bellargus !
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Hola, amigo castellano, que t'al ?
Non non : ce n'est pas Polyommatus icarus !
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Nemopteryx a écrit :Oh! Pardon, pardon mon ami.......
De nada hombre : ningun es perfecto ....
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Gyp, à ma connaissance P.hispana vole dès mi-avril, alors que P.coridon vole à partir de fin juin. C'est pour cela que je pensais à P.hispana.
D'accord avec toi, ce n'est pas P.icarus
Attendons d'autres avis
La vérité d'un homme, c'est d'abord ce qu'il cache. (André Malraux)
saturnin a écrit :Gyp, à ma connaissance P.hispana vole dès mi-avril, alors que P.coridon vole à partir de fin juin.
Tu as entièrement raison, Didier : avec la date de capture on peut quasiment affirmer qu'il s'agit de P. hispanus
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
J'aurais tendance à dire L. hispana f mais pourquoi éliminer L. bellargus f.
Quel est le critère qui permet de séparer les femelles d'hispana et de bellargus ? Existe-t-il ?
Peut-on connaître la localité de capture dans le 83 car il éxiste une sous espèce d'hispana dans la forêt du Don (Maures).
Merci de votre éclairage.
Pierre
Bonsoir Papy
Pour différencier bellargus de hispana je pense que c'est la suffusion bleu sur le recto des ailes, il faudrait peut-être d'autres avis.
Pour ce qui est de la localité, c'est à proximité de Vidauban.
La vérité d'un homme, c'est d'abord ce qu'il cache. (André Malraux)