"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Très bien pour Paromalus (s. str.) parallelepipedus (Herbst, 1791).
L'espèce n'est pas rare sous l'écorce des arbres morts, elle est commune dans les résineux, en particulier le pin,
finalement les feuillus n'est pas vraiment sa tasse de thé !
Tandis que flavicornis a une préférence pour les feuillus.
Le genre Paromalus est représenté en France par quatre espèces.
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Oui, elles sont moins courantes : Paromalus (s. str.) filum Reitter (rare) Paromalus (Isolomalus) luderti Marseul (en voie d'acclimatation et même maintenant bien implanté)
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
A première vue, Paromalus parallelepipedus a le corps nettement plus "parallèle" que flavicornis,
cependant chez les deux espèces la possède la marge externe du corps plus arrondi que chez le .
L'identification des deux espèces par la seule courbure du corps est hasardeuse dans le cas suivant : un spécimen de parallelepipedus
(moins parallèle, plus ovale que chez le ) mis à côté d'un spécimen de flavicornis (un peu plus parallèle que chez la ).
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Non, tu n'as pas eu de chance de "tomber" sur un ,
c'est un peu une mise en garde pour celui qui tente de déterminer les deux espèces communes, car la confusion
règne assez souvent dans les collections.
Il y a aussi des caractères discriminatoires sur la strie mésosternale, l'édéage et la sculpture discale du pygidium de la
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)