je suis vexé, cela fait 2 jours que je ne vois pas apparaitre les nouveaux messages sur ce sujet alors qu'il y en a tout plein.
je vais peut être écrire quelques banalités, je m'en excuse d'avance.
Un des défaut des posts de Sat est de laisser croire que tout est déjà décidé; les protocoles et les pièges. or ce n'est pas le casBiopmer a écrit : Mais je vois quand même trois types de problèmes:
- Où trouver ces protocoles ? Parce qu'ils ne se résument pas je suppose, pour les pièges aériens d'inter au fait qu'il faut 4 plaques de 20 x 80 ?? Et il doit certainement aussi y avoir des protocoles pour les autres modes de chasse. Si on veut qu'ils soient utilisés, il faudrait au moins les faire connaître le plus largement possible ...
Un protocole est conçu pour répondre à des besoins et a une problématique. Il n'existe donc pas de protocoles standard auxquels se référer actuellement pour qu'un quidam pose ses pièges. au passage ce n'est pas ce que dit Sat.
Par contre il existe des protocoles pour certaines études, comme l'atlas de Seine et Marne.
indépendament de cela, un groupe de travail oeuvre sur la problématique des insectes forestiers . Un autre mène des réflexions sur les pot pièges.
Les protocoles sont/seront conçu en général par un ensemble de personne, sur lesBiopmer a écrit : Avant d'utiliser un protocole, je veux comprendre comment il a été construit. Et par exemple pour rester sur les pièges-vitre,
je ne pense pas que l'on ai fait beaucoup de test comparatif entre différent modèle pour des raison de temps.... tout simplement...Biopmer a écrit : il me semble que l'important devrait être la surface d'interception (et peut-être l'angle formé par les plaques), soit 3200 cm2 x 2 et non leurs dimensions. Si ce n'est pas le cas, je veux qu'on m'explique !
il ne suffit pas de mettre 4 piège pour conclure, comme tu t'en doute.... mais un peu plus, de dépouiller les données et d'analyser tout cela.....
Je peux ,d'ailleurs, mettre à disposition des PIMUL de l'Otopteryx (80 X 40) à celui qui se lance dans la comparaison avec le Polytrap ou avec des PIMUL de dimension différentes ( même surface ou non, 1, 2 , 3 ou 4 ailette)
A mon avis pour limiter les biais et les éléments dont on ne maitrise pas l'impact....... moins il y a de variations dans le modèle......Biopmer a écrit : D'autant plus que la forme, les dimensions et la couleur de l'entonnoir semblent sans importance ... je veux savoir pourquoi.
ça dépend ce que tu veux en faire et on est bien d'accord. un atlas cartographique brut de décoffrage oui, un atlascartographique chronologique par tranche de 10 ans...oui mais... il y a déjà des biais.Biopmer a écrit : De même à propos des autres caractéristiques retenues pour la définition du protocole.
- Il me semble profondément stupide (si on est dépourvu d'arrières-pensées!) de se priver de la plus grande partie des info disponibles et à venir en éliminant toutes les données aléatoires.
Estimer l'évolution de l'aire de répartition et des populations,..... il y en a qui ont essayés.....et d'autre qui on refusés
d'autre part... ce que l'on cherche à obtenir dans un protocole, c'est bien de rendre compte de ce qui ce passe et non des compétence d'un entomologiste à dégoter telle ou telle insecte rare...
D'ailleurs qui d'entre vous note quasi systématiquement la présence de la coccinelle à 7 points ? un entomolgiste sur le terrain n'a pas un comportement aléatoire....
supérieur non, différent ouiBiopmer a écrit : Celles obtenues dans le cadre d'un protocole reconnu pourraient avoir un statut supérieur, mais les autres gardent tout leur intérêt. Il me semblerait plus cohérent de définir une "hiérarchie" des données selon leur degré de précision, quitte à mettre celles-ci en haut du tableau.
Oui nous ne maitrisons pas tout, faut'il attendre de tout connaitre, pour agir et tenter dans prochaines années d'améliorer notre vision de l'Biopmer a écrit : Ceci d'autant plus que de toutes façons nos faibles connaissances que je soulignais précédemment font que tous les protocoles qu'on mettra en place seront remplis de biais plus ou moins indécelables et que leur reproductibilité sera toujours sujette à caution
il s'agit donc de rendre le plus constant possible ces biais, par le choix d méthodes d'échantillonnages simples pour lesquels les biais seront probablement plus facile à détecter et à corriger.
mais la métaphore est parlante.....Biopmer a écrit : (la comparaison avec les globules rouges ne tiens pas la route ne serait-ce que parce que le niveau des connaissances en hématologie humaine est sans commune mesure avec le niveau de l'ignorance en autécologie des insectes!)
qu'en déduis tu ?Biopmer a écrit : Bon si personne ne réponds, c'est que je me suis trompé d'hypothèse ...
cordialement
Oto