Prisca a écrit :
D'autre part, pour la localisation, c'est à flanc d'un coteau avec des vignes, de la garrigue, des pins, de la terre rouge, du rocher, quelques résurgences humides quand il pleut, mais rien de ressemblant à une tourbière.
Effectivement, le biotope n'a rien à voir avec la bête à laquelle je pensais !
Oui : c'est bien une totalement aberrante de Plebejus sp. et je me suis bien fait avoir car je n'avais pas cliqué sur la photo (je n'y avais pas pensé) et je n'avais pas vu les écailles bleues dans les ocelles submarginaux ..
Bravo Simon ...
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Il y a quand même un truc qui m'étonne, c'est ce point dans la cellule, que je n'avais jamais vu chez un Plebejus (de quoi donner des sueurs froides aux amateurs de critères de détermination bien nets !)
Faut-il y voir la résurgence d'un caractère "ancestral" que l'évolution a cru bon d'inhiber chez les Plebejus, ou bien m'égare-je ?
Peut on éliminer une aberrante de P. argyrognomon ?
Je sais bien qu'il (elle) va rester sp. mais je trouve l'ornementation plus proche de celle de l'espèce sus-citée !
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.