[Apis mellifera] Abeille domestique, oui, mais....comme sur un plateau
Animateurs : lauzette, baudric
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- Enregistré le : mercredi 18 juillet 2007, 20:41
- Localisation : Littoral provençal
Entendu un apiculteur parler de 'l'abeille noire de Provence", qui butinait en nombre les lavandins.
Est-ce une variété d'Apis mellifera? une sauvage?
Est-ce une variété d'Apis mellifera? une sauvage?
Balises :
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- Localisation : Aquitaine
C'est la sous-espèce provençale de Apis melifera.
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amateur apoïdes
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- Enregistré le : mardi 18 décembre 2007, 10:32
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Il y a toujours une sous-espèce provençale de quelque chose. çà devrait donner çà:"Apis mellifera provencalis"
Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme....
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Apis melifera sous-espèce nigra écotype provençal.
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amateur apoïdes
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Merci François. Ca c'est précis 

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- Membre
- Enregistré le : mardi 18 décembre 2007, 10:32
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Les amandiers commencent à fleurir, et les mimosas éblouissent.
et le reste aussi!
adlibitum
et le reste aussi!
adlibitum
Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme....
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- Enregistré le : mercredi 18 juillet 2007, 20:41
- Localisation : Littoral provençal
Peut-on les différencier à l'oeil les provençales?
Et une sauvage, à quoi la reconnait-on?
Les sous-espèces sont, je suppose, interfécondes; juste ou non?
Et une sauvage, à quoi la reconnait-on?
Les sous-espèces sont, je suppose, interfécondes; juste ou non?
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- Enregistré le : dimanche 13 février 2005, 17:57
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C'est juste,Chère(ou cher) Bilule.
Les sous-espèces sont interfécondes entre elles(ex l'abeille noire et l'abeille italienne).
Un écotype et sa stratégie est sculpté par le milieu,ici les miélées méditéranéennes de printemps et d'automne, l'agriculture:la culture de la lavande.
Au cours de périodes de réchauffement (8000 BP par exemple) les Alpes ne sont plus une barrière ente Italienne et Noire et il y a des croisements constatables chez la Provençale.
François
Les sous-espèces sont interfécondes entre elles(ex l'abeille noire et l'abeille italienne).
Un écotype et sa stratégie est sculpté par le milieu,ici les miélées méditéranéennes de printemps et d'automne, l'agriculture:la culture de la lavande.
Au cours de périodes de réchauffement (8000 BP par exemple) les Alpes ne sont plus une barrière ente Italienne et Noire et il y a des croisements constatables chez la Provençale.
François
Modifié en dernier par fdttl le jeudi 7 février 2008, 17:23, modifié 1 fois.
amateur apoïdes
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- Enregistré le : lundi 18 juillet 2005, 16:18
- Localisation : Saint-Viâtre (41)
par definition, les sous especes sont interfecondes (pour tout le reigne animal) si ce n'etait pas le cas, on devrait les decrir en tant qu'especesBidule a écrit :Les sous-espèces sont, je suppose, interfécondes; juste ou non?
on reconnait une abeille sauvage au fait que ce n'est pas Apis melliferaBidule a écrit :Et une sauvage, à quoi la reconnait-on?

les bourdons sont comptés dans les abeilles sauvages. les personnes qui savent les elever (produire ?) sont rares.
.
ce n'est pas parce qu'ils sont beaucoup a avoir tort qu'ils ont raison !
ce n'est pas parce qu'ils sont beaucoup a avoir tort qu'ils ont raison !
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- Membre confirmé
- Enregistré le : dimanche 13 février 2005, 17:57
- Localisation : Aquitaine
Il y a des colonies d'Apis melifera sauvages dans des troncs d'arbres creux .
Tout le monde en connait.
Elles sont issues de ruches récoltées par l'homme et vivent très bien seules
étant même en équilibre avec leur population de varroa, parceque pense-t-on, elles vivent sans stress.
Si l'homme disparaissait,Apis melifera survivrait très bien.
Cela tient à la nature de la fécondation des reines: lieux de rassemblement
des jeunes adultes en des bals loin des ruches mères ( jusquà 10km).
Cela fait un grand brassage génétique,peu de ruches en fait étant sélectionnées par les apiculteurs.
Il y a aussi l'essaimage avec une reine vierge à la tête de l'essaim qui peut faire des km pour choisir un lieu pour s'installer et donc repeupler une région
dont les colonies d'abeilles aurait disparu.
Bien sûr ,si on parle des ruches de production de gelée royale, à hautes performances menées par insémination artificielle,celles-ci mourraient dès qu'il ferait 15 jours de pluie si on ne s'en occupait pas.
François
Tout le monde en connait.
Elles sont issues de ruches récoltées par l'homme et vivent très bien seules
étant même en équilibre avec leur population de varroa, parceque pense-t-on, elles vivent sans stress.
Si l'homme disparaissait,Apis melifera survivrait très bien.
Cela tient à la nature de la fécondation des reines: lieux de rassemblement
des jeunes adultes en des bals loin des ruches mères ( jusquà 10km).
Cela fait un grand brassage génétique,peu de ruches en fait étant sélectionnées par les apiculteurs.
Il y a aussi l'essaimage avec une reine vierge à la tête de l'essaim qui peut faire des km pour choisir un lieu pour s'installer et donc repeupler une région
dont les colonies d'abeilles aurait disparu.
Bien sûr ,si on parle des ruches de production de gelée royale, à hautes performances menées par insémination artificielle,celles-ci mourraient dès qu'il ferait 15 jours de pluie si on ne s'en occupait pas.
François
amateur apoïdes