Je retiens surtout que les couleurs des mâles n'ont rien à voir avec celles des femelles.
Par ailleurs, les deux clés dont il est fait mention ici ou là semblent très difficiles à trouver, d'autant que leur référence exacte n'est pas donnée.
Un correspondant de C. Thirion a demandé quels étaient les critères comparatifs des 3 espèces de France (P. pisorius, P. fusorius et P. similatorius) et n'a reçu aucune réponse.
Les descriptions spécifiques sont quasi inexistantes et sans doute très vagues (antérieures à 1800).
L'origine des rares éléments fouris par C. Thirion est inconnue.
Enfin, dans le cas de l'opacité des ailes, on ne comprend pas, de la citation de C. Thirion, si c'est un critère réel ou s'il s'agit d'une anomalie constatée dans la clé de Meyer.
Conclusion de tout ceci : on nage dans le flou !

Qu'en penses-tu ? Doit-on en rester à P. pisorius probable ou à Protichneumon sp ?
Trana