[Coraebus undatus] Bupreste

Message par **Vinz** » jeudi 3 octobre 2013, 18:25

Je suis relativement loin des chênes vert là ... il y en a à quelques kilomètres.

Message par **Lacon** » jeudi 3 octobre 2013, 18:35

Vu en Brenne (F.36), prenant le soleil sur le feuillage d'un vieux chêne, à côté d'un C. florentinus.
Aussi en forêt d'Amboise (F.37), au bas d'un chêne de lisière en fin d'après midi.

les deux exemplaires rambolitains connus l'ont été par grand vent, au sol, sous chêne sessile
fin des années 90
je me souviens très très bien du premier

(dans le genre gros coup de bol...)

malheureusement jamais trouvé vivant... deux fois des restes où il manquait à chaque fois la tête...

alouette

Blanc Mickaël a écrit :malheureusement jamais trouvé vivant... deux fois des restes où il manquait à chaque fois la tête...

Il suffit de trouver des Cerceris buprestoida et après tu attends qu'elles t'en ramènent des tas en sirotant ta bière. En plus, elles les zigouillent pour toi et si tu les dresses bien, elles les étalent aussi. C'est pas dur l'entomologie.

Message par **Bobal** » vendredi 4 octobre 2013, 18:30

D'ailleurs, à propos des Cerceris, je vous conseille l'article paru dans le Bulletin de l'ACOREP, 1993, 16, pp.17 et 18, Chasse dans les terriers de Cerceris, où il est relaté que dans un seul jardin, le docteur Dufour déterra pas moins de 37 Coraebus undatus, entre autres...

Message par **Vinz** » vendredi 4 octobre 2013, 18:37

Il faut les dresser alors

Sat' a écrit :ahhhhhhhhhhhh
c'est pas le plus facile du genre à trouver !
(je dirais même que c'est le plus difficile)

Pourtant sur les trottoirs de Paris...

Les trois autres exemplaires que j'ai en collection viennent tous de l'Allier (Forêt de Tronçais, Forêt de Marcenat et Forêt de Civrais) en 2004 et 2005.

Message par **J.H. Yvinec** » samedi 5 octobre 2013, 18:15

J'en ai un bout provenant d'un tronc de gros chêne débité au sol, forêt de Compiègne. Il n'avait pas réussi à sortir de son trou et y était mort. Pendant que j’extrayais la partie postérieure, une grosse fourmi est passée et m'a piqué la tête et le pronotum !
Ceci étant, mon collègue JC Bocquillon les attrape sur les feuilles au sommet des jeunes chênes.

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