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Il y a une belle série de photos de larves et d'imagos de Diplolepis rosae sur la galerie, je propose de la compléter par une photo de la galle telle qu'on la rencontre sur diverses espèces de Rosa sauvages
Bonne soirée
Patrick
Patrick Le Mao : France : Saint-Marcel : 73600 : 26/7/2008
Belle galle très très commune, une des rare à avoir un nom français, le Bédéguar.
Contrairement aux cynips des chênes les diplolepis n'ont pas d'alternance de génération il y en a une seule par an et bisexuée
La tienne est verte, j'en vois plus souvent des rouges, mais c'est variables. Ces galles persistent l'hiver et les adultes en émergent au printemps. Elles sont parasitées et/ou squattées par une foule d'espèces associées.
l.a jolie touffue !
ça me rappelle le TP de première année : jean-yves25 avait réalisé une clé de la plupart des habitants rencontrés dans cette galles : le Diplolepis, son commensal et le cortège de parasitoides associés (avec des cas d'hyperparasitoides !).
près de 7-8 sp. peuvent être trouvées dedans (pas forcément en même temps).
il y a 2 ans, j'avais récupéré une galle, sur un Eglantier, je l'ai laissé l'hiver dans un pot de miel (vidé éh éh) et au printemps j'ai eu une foule de microhyménos qui étaient sortis. mais il ne s'agissait que du Diplolepis (snif !).
enfin, expérience à tenter ! (et comme vous le dites, ce n'est pas la galle la plus rare !)
J'ai moi-même prélevé un bédéguar, il y a 3 semaines, et j'ai eu ma première émergence, hier... d'un parasite superbe. Je vais poster un sujet spécifique * pour lui, mais je tenais à garder ce fil en mémoire car les liens fournis me semblent très utiles pour la détermination de ces parasites. D'après cette doc, j'aurais obtenu Ptorymus bedeguaris .