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[Dodecastichus geniculatus] Otiorhynchus ...

Insectes à élytres, les scarabées, coccinelles, charançons, carabes, etc. forment l'ordre le plus diversifié au monde.

Animateur : Lysbeth d'Alys

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Dom'
Membre confirmé
Enregistré le : jeudi 16 décembre 2004, 18:54
Localisation : Zuydcoote

[Dodecastichus geniculatus] Otiorhynchus ...

Message par Dom' »

Un autre autrichien ...

Pris sur ombelles le 7 juillet 2003 au même endroit que le supposé Otiorhynchus gemmatus, mais beaucoup moins courant (vu un seul en 4 séjours !).

Autriche, Massif Radstadt Tauern, Obertauern 1700 m. Taille 8,5 mm.

Un Otiorhynchus, mais lequel ???

Dominique

Image
Dominique Poirier-Ducrocq : Autriche : 7 7 2003 : Obertauern (Radstadt Tauern) :
altitude : 1700 m - taille : 8,5 mm
ref:5657
Modifié en dernier par Dom' le mercredi 26 octobre 2005, 6:32, modifié 1 fois.

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Saturnin de la Poire
Ron-ron
Enregistré le : mercredi 11 mai 2005, 14:34
Localisation : Troupomey-Les-Deux-Eglises

Message par Saturnin de la Poire »

déja en France c'est dur, alors en Autriche je passe mon tour

Sat 8-O
Sat'

Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
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Dom'
Membre confirmé
Enregistré le : jeudi 16 décembre 2004, 18:54
Localisation : Zuydcoote

Message par Dom' »

C'est beau, l'Europe ! :lol: :lol: :lol:

Dominique
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entomofou
Modérateur
Enregistré le : dimanche 7 mars 2004, 13:00
Localisation : Saint Agnant de Versillat (23)

Message par entomofou »

:up: Pour les germanophiles curculiophones!

Stéphane
Nicolas Komeza
Membre confirmé
Enregistré le : dimanche 17 septembre 2006, 11:05
Localisation : Tarn

Message par Nicolas Komeza »

Pas facile ! surtout avec ce genre de bête.

En grattant un peu je pense que l'on se trouve dans le sous-genre Urorrhynchus qui comprendrait 4 espèces (du moins selon ma biblio !) :
O. (Urorrh.) truncatus
O. (Urorrh.) sensitivus
O. (Urorrh.) sabulosus
O. (Urorrh.) nobilis

sensitivus et sabulosus sont connues d'Autriche.
Mais bon cela reste à prendre avec des pincettes car beaucoup d'espèces se ressemblent

Nicolas
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pat64
Admin-galerie
Enregistré le : vendredi 20 juillet 2007, 14:09
Localisation : Pyrénées-Atlantiques

Otiorhynchus ...

Message par pat64 »

Je pense plutot à Dodecastichus sp
Pat
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J.C Freeman
Membre confirmé
Enregistré le : mardi 18 septembre 2007, 20:28
Localisation : Pyrénées-Atlantiques

Otiorhynchus ...

Message par J.C Freeman »

Bonsoir,

Je confirme, il s'agit d'un mâle de Dodecastichus. On ne peut pas compter ses stries sur cette photo, mais les mâles de ce genre ont la zone latéro-apicale des élytres, à partir des hanches postérieures, compressée de façon caractéristique. Pour l'espèce, je vous laisse chercher. :-|

Cordialement,

JCF
"L'insecte vaut un monde: ils ont autant coûté"

Alphonse de Lamartine
Nicolas Komeza
Membre confirmé
Enregistré le : dimanche 17 septembre 2006, 11:05
Localisation : Tarn

Otiorhynchus ...

Message par Nicolas Komeza »

Exact les Urorrhynchus ne montrent pas resserrement élytral. Va pour Dodecastichus

Nicolas
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pat64
Admin-galerie
Enregistré le : vendredi 20 juillet 2007, 14:09
Localisation : Pyrénées-Atlantiques

Otiorhynchus ...

Message par pat64 »

j'y verrai bien inflatus
Pat
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J.C Freeman
Membre confirmé
Enregistré le : mardi 18 septembre 2007, 20:28
Localisation : Pyrénées-Atlantiques

Otiorhynchus ...

Message par J.C Freeman »

Vous pouvez toujours chercher la dedans, mais il sera nécessaire d'actualiser la nomenclature car c'est une traduction du Porta :


Subg. DODECASTICHUS Stierlin

Elytres avec 12 stries. Leur bord latéral fortement sinué avant les hanches postérieures. Seule la strie suturale est fortement creusée à l’extrémité. Les tibias antérieurs et souvent aussi les postérieurs arqués à l’intérieur avec l’extrémité apicale non élargie sur la face externe. Fémurs inermes. Corps noir ou noir brun avec une fine pubescence couchée. Les pattes souvent complètement ou en partie rouges ferrugineuses.

1. Prothorax avec une sculpture fine ou finement granuleux ou avec le disque ponctué. Dans le premier cas, la ponctuation est plus visible vers la moitié du bord antérieur. Elytres finement granuleux, souvent avec de fines et denses rides transversales et aussi souvent des points libres entre elles.
Antennes allongées, les articles 3-7 du funicule, au moins ceux du mâle, plus longs que larges.

2. Disque élytral avec une ponctuation fine et ondulée transversalement. Disque du pronotum plus ou moins ponctué. Les soies apicales du tibia en forme d’épine, généralement jaune-bruns. Pattes noires. Longueur : 7-10 mm. Dalmatie, Croatie, Bosnie - Herzégovine (1)
(turgidus Germ.)

V .dulcis Germ. – Pattes rouges-ferrugineuses, genoux et ordinairement aussi les tarses noirâtres. Prothorax plutôt plus large que le long. Isola de Lussino (Golfo de Quarnaro).

V. tarentinus Solari – Elle se distingue de la forme typique par ses élytres régulièrement arrondis sur les côtés, pas dilatés, par les tibias postérieurs plus minces, beaucoup moins tuberculeux, dilatés vers la base, et aussi par la granulation plus forte sur les côtés du pronotum - Pouilles (Tarente: Grottaglie).

2’. Elytres avec sur le disque une fine granulation, sans trace de points libres. Prothorax avec aussi une fine granulation, parfois cependant beaucoup plus faible et évanescente.
3. Soies apicales des tibias jaunes ; granules des élytres dispersés ; tibias postérieurs à la base avec la face interne seulement finement granuleuse. Prothorax aussi long que large , avec la plus grande largeur avant le milieu. Elytres du mâle fortement comprimés avant l’apex, plus faiblement chez la femelle. Pubescence dense, jaune-gris ou jaune. Granules de la partie supérieure beaucoup plus fines, comme évanescente. Elytres courtes et oviformes. Longueur : 6,5-10 mm. Istrie
heydeni Stierlin

v. ovoideus Reitter. Plus grande et plus robuste que le type. Elytres plus longs avec la granulation de la partie supérieure beaucoup plus forte, brillantes avec la pubescence très distinctement concentrée en nombreuses tâches. M. Gargano

3’. Soies apicales des tibias brun-noire. Granule des élytres denses. Tibias postérieurs avec des tubercules à leurs bases sur leurs faces internes. Pubescence uniforme et presque pulvérulente. Elytre légèrement comprimés avant l’apex. Rostre légèrement plus long que large. Noir, pattes rouge-bruns. Genoux , tibias et ordinairement aussi les tarses obscurs. Longueur : 7- 8,5 mm . Alpes Julienne, Vénétie Tridentine, Vénéto, Ile d’Elbe.
(ambrosii Bertol.) mastix Oliv.

a.nigrociliatus Reitter – Complètement noir. Molise (Campobasso)

v . scabrior Reitter - Se distingue du type par la plus grande brillance, la striation des élytres plus forte, plus profonde, la granulation plus rugueuse et le plus souvent confluente en rides transversales irrégulières ; le rostre est aussi habituellement un peu plus étroit ; la pubescence est jaunâtre, tachetée ; la coloration des pattes comme chez le type. Alpes Apuanes, Ombrie, Lazio, Abruzzes.

a. scabricollis Germ. – Diffère du type par la forme plus allongée et par la sculpture moins robuste. Vénétie Julienne, Isola Veglia.
a. pruinosus Germ. – Forme plus grande que le type, avec une fine sculpture et une pubescence uniforme, pulvérulente et plus dense. Isola Arbe.
v. perlongus Solari - Noir, sculpture comme celle du scabrior, rostre distinctement plus long, antennes plus longues, thorax apparemment plus long,. Elytres plus convexes sur le dos :
chez le mâle, ovales – allongés, dilatés assez fortement vers la base et fortement resserrés vers l’apex
chez la femelle, ovales-allongés, mais légèrement plus courtes, assez régulièrement arrondis sur les côtés
Pattes plus longues, tibias visiblement beaucoup plus longs que chez scabrior. Des auteurs considèrent cette variété comme une forme très aberrante du mastix.
Campanie (Vallo Lucano : M. Centaurino, M. Scuro, S. Biase di Ceraso).

1’. Prothorax et élytres grossièrement granuleux, ou rugueusement granuleux, la granulation rarement aplatie ou évanescente ; pronotum sans ponctuation distincte entre les granules.
4 . L’incisure triangulaire du bord antérieur du rostre finement carénée atteint le niveau de l’insertion antennaire. Rostre plus long que large avec deux sillons longitudinaux peu marqués près de la carène médiane ; article médian du funicule antennaire un peu plus long que large. Elytres courts et oviformes, chez la femelle courts et larges avant l’apex, fortement compressés chez le mâle, avec la sixième interstrie courte et caréniforme. Noir-brun avec la pubescence plus ou moins grise, tachetée, prothorax du mâle à peine transverse, celui-ci et les élytres fortement granuleux, ces derniers sont aussi rugueux. Pattes entièrement noires. Longueur : 6-10 mm. Vénétie Tridentine, Vénétie Julienne, Lombardie, Toscane, Lazio .(1)
inflatus Gyll.

a.salebrosus Boh. – patte rouge ferrugineux, articulation des genoux noirâtre. Alpes Juliennes, Vénétie Tridentine.

4’L’incisure triangulaire du bord antérieur du rostre, souvent semi-circulaire, n’atteint pas le niveau de l’insertion antennaire.

5 Poils de la partie supérieure du corps jamais de couleur métallique.

6. Convexité apicale des élytres de la femelle verticale, apex non prolongé en forme de queue. Articles 3-7 du funicule antennaire considérablement plus longs que larges. Grand et épais, convexe, pubescence uniforme, fine, grise ou jaune-gris. La compression avant l’apex des élytres est distincte seulement chez le mâle. Pattes noires. Longueur : 9-14 mm. Calabria (Gerace), Napoli. Selon MÜLLER, il s’agirait d’une forme vicariante du pulverulentus.
dalmatinus Gyll.

a. maculosus Solari – Elle se distingue du type par ses élytres un peu plus courts ,souvent plus larges à la base chez le mâle et légèrement plus convexes sur le dos, ainsi que par la présence de nombreuses petites taches de squamules piliformes plus claires et légèrement plus denses que la pubescence qui recouvre les élytres. La granulation est un peu plus dense et les granules plus petits. Lazio, Ile d’Elbe.

6’ Convexité apicale des élytres chez la femelle oblique comme chez le mâle.

7. Apex élytral prolongé brièvement en forme de queue chez la femelle, arrondie. Partie supérieure des élytres avec des tâches de pubescence jaunes ou grises. Elytres compressés sur les côtés avant l’apex chez le mâle.

8. Antennes allongées, articles 3-7 du funicule plus longs que larges. Apex élytral chez la femelle, en forme de queue, plus longue ; la seconde strie sur les côtés de la partie apicale ne se réunit pas avec la première dans une fossette. Segment anal du mâle sans fossette et sans touffe de poils. Strie suturale de l’élytre très fortement excavée à son extrémité ; interstries avec une granulosité fine et peu dense. Longueur : 7,5-11 mm. Vénétie Julienne.
consentaneus Boh.

v. lauri Stierlin- robuste et foncé, densément et inégalement granulé, profondément strié, les antennes un peu graciles, rostre plus étroit en avant, thorax chez le mâle et chez la femelle juste un peu plus longs, mais les côtés chez le mâle sont beaucoup plus dilatés, plus étroits chez la femelle, les côtés très peu arrondis et les pattes rouge-bruns.
♂ : Elytres ovales, anguleux au sommet ou conjointement presque arrondies, rostre indistinctement conique, long, l’avant plus étroit.
♀ : Elytres ovales, ventrus, apex submucroné et acuminé, rostre conique, plus court et plus large. Le rostre chez lauri est plus long que chez latialis , nettement parallèle aux côtés, les antennes sont plus longues , les pattes plus robustes, les fémurs beaucoup plus élargis, les élytres sont presques conjointement subtronqués et arrondis à l’apex, le thorax est extraordinairement développé. Vénétie Julienne, Toscane.

a. florentinus Afpel. – Pattes d’une couleur noirâtre plus ou moins intense. Toscane, Ombrie.

v.latialis Solari – Elle se distingue du consentaneus typique par les caractères suivants :

♂ : antennes plutôt graciles, rostre indistinctement conique, plus étroit et plus long, tête plus petite, le front évidemment beaucoup plus étroit. La sculpture des élytres plus rugueuse, les granules plus saillants, les stries plus profondes, souvent sulciformes (en forme de sillons), les points beaucoup plus distincts et nettement séparés des granules. La squamulation moins abondante et plus nettement condensée en petites taches, bien séparées les unes des autres. Elytres séparés à l’apex, acuminés et arrondis, ou presque conjointement arrondis et tronqués ; les élytres sont en outre plutôt brièvement ovales ; élargis vers la base, sans courbe rentrante et avec une carène moins marquée sur les côtés, c’est pourquoi à partir du point où elles ont leur plus grande largeur, elles rétrécissent jusqu’à l’apex selon une ligne presque oblique et tout à fait régulière, les élytres sont par conséquent, vers l’apex, beaucoup plus étroits que celles de consentaneus.
♀ : Sculpture des élytres et squamulation comme chez le ♂. Rostre conique, moins cependant que dans la forme typique du consentaneus, moins large, front plus étroit. Elytres très larges et bombés, mais toujours acuminés – mucronés à l’apex comme chez le consentaneus typique.
Lazio, Abruzzes, Campanie.

a.dimorphus Solari – Dans cette forme le ♂ a le rostre long mais distinctement conique, le thorax presque aussi développé que chez lauri, les fémurs très élargis, les élytres au contour égal à celles du consentaneus, mais plus longs ; la sculpture est encore plus rugueuse que chez lauri , les élytres sont individuellement acuminés-arrondis à l’apex selon un mode bien visible. La ♀ a le rostre nettement conique, et les élytres fortement bombés. Campanie(Salerno : M.Sacro près du Val Lucano), Sicile.
v.alticola Solari – C’est le plus petit des Dodecastichus actuellement connus, il se distingue facilement de consentaneus par la brièveté des articles externes du funicule ; des espèces avec les articles du funicule court, par les élytres acuminés à l’apex : peu chez le ♂, très distinctement chez la ♀. La sculpture et l’aspect général de cette espèce est variable ; il y a des exemplaires qui ont la pubescence condensée en taches et qui évoquent tout de suite le consentaneus ; il y en a d’autres chez lesquels ces taches sur les élytres ne s'observent pas et qui ressemblent à de petits exemplaires de mastix. Les granules des élytres sont plus ou moins fermés et toujours plus denses que chez consentaneus, les stries plus ou moins marquées, les points de celles-ci plus ou moins visibles. Chez le ♂ les élytres sont légèrement carénés sur les côtés, ovales ; chez la ♀ ils sont ovales, arrondis.
Ombrie, Abruzzes ( Majella, G.Sasso, M. Greco, M. Amaro)

8’. Antennes courtes, articles 3-7 du funicule pas plus long que large. Les deux stries les plus externes des élytres se réunissent à leurs extrémités dans une fossette anguleuse. Le prolongement en forme de queue des élytres est très court chez la ♀ mais distinct. Abdomen du ♂ avec une pubescence mince et dressée, segment anal à son extrémité avec deux touffes allongées de poils jaunes, dressés . Carène médiane du rostre plate et indistincte, élytre avec des taches de poils, prononcés et arrondis. Noir, pattes rouge-ferrugineuses, genoux et tarses ordinairement sombres, rarement brun rougeâtre. Longueur : 8-9 mm. Alpes Tridentines.
dolomitae Stierlin

7 ‘. Extrémité des élytres fortement rebordée, mais sans un prolongement en forme de queue, la convexité apicale décline graduellement jusqu’au bord latéral.
9. Antennes minces et allongées, article 3-7 du funicule dans les deux sexes beaucoup plus longs que larges. Allongé, ovale, légèrement plus petit mais beaucoup plus étroit que dalmatinus ; la convexité apicale des élytres dans les deux sexes déclinent en oblique, la compression avant l’extrémité est limitée chez le ♂ au sixième intervalle à carène obtuse ; rostre distinctement plus long que large, scape antennaire plus long et mince. Noir, pattes rouge ferrugineux, articulation des genoux sombres. Longueur : 10-11 mm. Vénétie Julienne, Vénétie Tridentine (1)
pulverulentus Germ.
a. adumbratus Stierlin (orni Afpel.) – Plus petit, pattes noires.

9’. Antennes plus courtes, articles 3-7 du funicule pas plus long, ou parfois chez le ♂ un peu plus long que large. Partie supérieure avec une pubescence uniforme, éparse et très fine, parfois presque glabre ; stries latérales des élytres simples aux extrémités, non impressionnées en forme de fossette, strie suturale plus fortement creusée à son extrémité, sans former une fossette ; segment anal du ♂ plat ou faiblement impressionné en forme de fossette, avec une courte pubescence jaunâtre en arrière. Plus petit que pulverulentus, en diffère aussi par les antennes plus courtes. Noir, pubescence mince et fine, pattes rouge ferrugineux avec les genoux et les tarses plus sombres. Longueur : 8-10 mm. Vénétie Julienne.
obsoletus Stierlin

5 ‘. Pubescence des élytres maculées et toujours avec des reflets métalliques. Extrémités des tubercules élytraux arrondies individuellement à la suture. Elytres du ♂ courts et oviformes, courts et larges chez la ♀, avec une granulation normale ; segment anal du ♂ avec une impression longitudinale à son extrémité, pubescence moins longue. Pattes rouge bruns avec les articulations noires et les tarses sombres. Partie supérieure avec une pubescence verdâtre, tachetée et à reflet métallique. Longueur : 7-10 mm. Alpes Juliennes, Vénétie Tridentine, Lombardie.
geniculatus Germ.
a. eppelsheimi Apfelb. – Tomenteux et sombre, vestiture submetallique, , pattes noires ou rouge-brun, rostre plus large
Modifié en dernier par J.C Freeman le vendredi 12 avril 2013, 16:14, modifié 2 fois.
"L'insecte vaut un monde: ils ont autant coûté"

Alphonse de Lamartine

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