Maître
Mille sabords, je n'ai absolument rien à redire sur tes dernières remarques, au nom de
Michel (du siècle dernier!) c'est du bon boulot
Pour certifier tout ça, j'ai vérifié dans ma collection et c'est conforme à ce que je pense, c'est parfait pour obtenir une identification et comme un tableau des espèce est aussi nécessaire, je reprends mon tableau du forum pour le mettre ici.
Genre Gnathoncus Jacquelin du Val, 1857 de la faune de France (SECQ en préparation)
1 (4). –Dans la région
apicale des
élytres, les points ont des intervalles quasiment lisses.
2 (3). –Ponctuation du
pygidium rond. Corps et
scape noir, tibias brun. (2,2-3,5 mm)................................................................
nannetensis (Marseul, 1862)
3 (2). –Ponctuation du
pygidium transversale, les points sont étirés et forment parfois des rangés transversales. Corps brun foncé à brun clair,
tibias rougeâtre à brun clair,
scape brun rougeâtre. (la var.
subsuturalis Reitter désigne des spécimens dont la strie suturale atteint la moitié de la longueur de l’
élytre). (1,8-2,8 mm)............................................................................................................................................
rotundatus (Kugelann, 1792)
4 (1). –Dans la région
apicale des
élytres, les points ont des intervalles rugueux comprenant des plis ou des ridules.
5 (10). –Ponctuation du
pygidium arrondi ou ovale, présentant une abondante micro-sculpture dans les intervalles.
6 (7). –Strie suturale courte, 1/10e à 1/6e de la longueur de l’
élytre, le plus souvent réduite à un court crochet
scutellaire (dans la var.
Auzati Pic, la strie suturale atteint la moitié de la longueur de l’
élytre). Ponctuation de l’
élytre assez petite et délicate. Corps brun et tibias rougeâtre. (1,7-2,8 mm)...
communis (Marseul, 1862)
7 (6). –Strie suturale assez longues, 1/3 à 1/2 de la longueur de l’
élytre. Ponctuation de l’
élytre assez large et grossière. Corps noir et tibias brun rougeâtre.
8 (9). –Tibias antérieurs assez étroits, marge externe munie de
denticules bien développés. (2,1-2,9 mm)...........................................
buyssoni Auzat, 1917
9 (8). –Tibias antérieurs large, marge externe munie de
denticules peu accusés.
10 (5). –Ponctuation du
pygidium étirée transversalement, parfois confluente, présentant une micro-sculpture dans les intervalles peu développée. (1,6-2,8 mm)
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nidorum Stockmann, 1957
Maintenant, pour aller plus loin dans la fin du problème, tu peux photographier la partie ventrale du 8
e urosternite a condition que le segment soit intact !
Bravo pour tes investigations sur ce genre, maintenant il y a au moins une personne de plus en France qui s'y retrouve