Vu la relance du sujet, je m'aperçois que mes photos ont disparu. Je ne les ai plus (c'est dommage, c'était intéressant pour la démarche bien que de mauvaise qualité pris avec les moyens du bord), je pourrai au moins refaire une vue générale de l'animal. J'essaie d'y penser demain.
Si la cellule avait été pétiolée, ça aurait pu mener par exemple à Anoplius alpinobalticus, ou à certains individus de A. nigerrimus...
jé-et-les-insectes a écrit :la femelle d'alpinobalticus, tu la différencies comment la femelle de nigerrimus.
Le métapostnotum est fortement ridé chez alpinobalticus (il y a peut-être d'autres critères, il faudrait reprendre la biblio ; c'est celui dont je me suis souvenu en jetant un coup d'oeil rapide à mes individus de chaque espèce).
Merci Pito pour le tuyau ^^
Je manque de spécimens de réf (malgré un tour chez Fred qui m'a aimablement fournit en bestioles méridionales et en trucs casse-pieds comme les Episyron).
je suis heureux de voir que les Anoplius intéressent toujours car j'ai décidé de mettre au point quelques aides à l'identification et j'avais décidé de commencer par les Anoplius... (concinnus, nigerrimus, caviventris, alpinobalticus, tenuicornis, eous, samariensis, viaticus et infuscatus).
Cela sera publié dans la revue des entomologistes d'Auvergne (Arvernsis) sous forme de petites publications qui permettront aidé de l'ouvrage sur les genres d'aller à l'espèce dans bien des cas... et dans le premier cas pour tous les Anoplius de France... le pdf sera donc disponible... cet hiver (je vous l'annonce afin de me contraindre à le faire).
pétiolé c'est aussi valable pour nigerrimus et alpinobalticus (alpinobalticus est le plus souvent pétiolé), Pito donne le critère le plus sûr les rides du métapostnotum , mais l'on peut ajouter la pubescence brune à alpinobalticus alors qu'elle est plutôt cendré chez nigerrimus....
alpinobalticus à un nom assez couillon... car on le trouve plutôt dans le sud-ouest de la France...