C'est exactement ce qu'il a dit : "il est impossible de voir la moindre discontinuité ..." Et il en déduit que sur les qqs 20 espèces de BB et des autres, en réalité il n'y en a que 4 "bonnes" dans le sud. et il a regroupé. Ce que je trouvais très malin. Pourquoi "un cauchemard" ? c'est juste normal et logique.jé-et-les-insectes a écrit : jeudi 20 septembre 2018, 11:26 ... la variabilité intraspécifique est un sacré cauchemar et certains individus d'une espèce A, ressembleraient parfois plus sur certains points à certains d'une espèce voisine qu'à d'autres de l'espèce A...
... Il n'a pas parlé des autres dans le nord, mais ce doit être le même topo.
Non, ton 1er message semblait signifier qu'il remettait en cause la variabilité, et c'est juste le contraire.

Alors, je suggère : Meria cylindrica, forme dorsalis. La forme cylindrica-cylindrica (rouge) étant certainement plus fréquente chez les Catalans. Et le programme de capture dans les piscines permettra d'avoir assez de matériel pour faire les analyses ADN.
En revanche, ton collègue Cynique, lui, remet franchement en cause le travail de Jacques Bitsch, et dit de n'en retenir en compte que de la Biblio.

Ce qui est rigolo, c'est que BB n'a eu "connaissance" pour toute la France que de 31 femelles de M. dorsalis, dont la majorité de Corse, et de 3 mâles, tous de Corse, et aucune M. cylindrica, donc, ... et que JB ne donne pas de nombre d'individus, mais il est à l'évidence peu élevé, pour ces 2 espèces ramenées à une seule, alors que ma seule piscine à Aix-en-Provence a "produit" plus de 30 femelles en 6-7 ans, et plusieurs mâles, ... et qu'il y a plusieurs centaines de piscines dans la campagne autour d'Aix !
Edit : en fait, je m'aperçois que j'en récolte depuis 10 ans, dont un

Toujours de la même espèce.