
[Ischnura elegans] C'est qui ?
Animateur : Bertrand P
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- Membre
- Enregistré le : samedi 2 mai 2009, 9:52
- Localisation : cuperly (marne)
C'est qui ?
Moi, j'habite dans la belle plaine céréalière, ou il y a pas grand chose à voire, à part des champs de luzerne, de betteraves et de patates. 

Balises :
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- Enregistré le : lundi 31 août 2009, 14:49
- Localisation : Maizy Aisne
Avec la nouvelle politique agricole commune elle va bientôt changer la plaine de champagne (je suis originaire de Vertus). Je suis la formation DAPA ( pour les phitos) et les agriculteurs parle de planter des haies (nouvelles obigation) et c'est tan mieux.
En attente du résultat du concours d'entré à l'INRA.
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- Membre
- Enregistré le : jeudi 5 juillet 2007, 21:36
- Localisation : genève ou haute-savoie
C'est qui ?
... les agriculteurs planter des haies ?!?!? ... je comprends mieux la neige annoncée a 700m pour lundi!
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- Membre
- Enregistré le : samedi 2 mai 2009, 9:52
- Localisation : cuperly (marne)
C'est qui ?
Les seuls haies qui sont pour l'instant planter, le sont soit par l'ONCFS, soit par des agriculteurs chasseur, et on les comptes sur les doigts d'une main de manchot.
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- Membre
- Enregistré le : samedi 2 mai 2009, 9:52
- Localisation : cuperly (marne)
C'est qui ?
Et pour revenir au sujet, c'est quoi comme espèce, ou au moins le genre ?
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- Membre confirmé
- Enregistré le : dimanche 3 juin 2007, 6:14
- Localisation : Beaupréau, Maine et Loire, 49
C'est qui ?
Pas de problème pour l'espèce tu l'as dit toi-même, c'est Ischnura elegans, un mâle.
Renaud l'a reconnu au premier coup d'oeil avec ces 2 petites pointes de l'extrémité de l'abdomen.
Renaud l'a reconnu au premier coup d'oeil avec ces 2 petites pointes de l'extrémité de l'abdomen.
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.
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- Membre
- Enregistré le : samedi 2 mai 2009, 9:52
- Localisation : cuperly (marne)
C'est qui ?
il voit tout 

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- Membre
- Enregistré le : jeudi 5 juillet 2007, 21:36
- Localisation : genève ou haute-savoie
[Ischnura elegans] C'est qui ?
Qui à dit que les agriculteurs allaient planter des haies?
(tu rêves herbert)
copier-coller d'un comuniqué de france nature environnement:
Bilan de santé de la PAC : les céréaliers refusent de laisser une place à la nature
Hier s'est réuni un groupe de travail au Ministère de l'agriculture sur les conditions environnementales que les agriculteurs doivent respecter pour toucher les aides de la PAC. La profession agricole s'oppose à deux mesures essentielles : le maintien des prairies naturelles et les éléments fixes du paysage (haies, bandes enherbées ...). Réaction de FNE.
La mise en oeuvre de l'accord européen du « Bilan de Santé » de la PAC a fait l'objet d'une concertation en début d'été qui a conduit à une adaptation des Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales (BCAE), conditions à respecter par les agriculteurs pour bénéficier des aides de la politique agricole commune (PAC). Il était convenu que les agriculteurs ne devaient plus labourer les prairies permanentes, et consacrer une part de leur surface (1% en 2010, 5% en 2012) aux éléments fixes du paysage (haies, bandes enherbées ...). Deux objectifs essentiels, remis aujourd'hui en cause par la profession.
Jean-Claude Bévillard, responsable des questions agricoles à FNE, explique : « Quiconque a déjà traversé les plaines céréalières de la Beauce se rend bien compte que ces espaces sont devenus de véritables déserts biologiques. Il est vital d'y redonner un peu de place à la nature. L'objectif de 5% n'est pas un caprice d'écologiste : c'est le minimum nécessaire pour rééquilibrer les écosystèmes et permettre une réduction de l'usage des pesticides».
FNE note que l'opposition la plus forte est manifestée par des agriculteurs céréaliers, qui ne veulent pas consacrer quelques pourcentages de leur surface à la biodiversité... alors qu'ils sont les principaux bénéficiaires de la PAC ! Une position particulièrement malvenue alors que s'ouvrent les négociations européennes sur l'avenir de la PAC après 2013.
Jean-Claude Bévillard ajoute : «La légitimité de la PAC aux yeux de la société est de plus en plus remise en cause. Les efforts de tous seront nécessaires pour obtenir une politique européenne ambitieuse, dotée d'un budget suffisant. Pour cela il faut montrer que les agriculteurs qui touchent des aides européennes sont prêts à faire des efforts pour l'eau, le sol, la biodiversité».
FNE demande au Ministère de l'Agriculture de ne pas revenir en arrière, sur des mesures qui constituent le minimum acceptable du point de vue environnemental.
(tu rêves herbert)
copier-coller d'un comuniqué de france nature environnement:
Bilan de santé de la PAC : les céréaliers refusent de laisser une place à la nature
Hier s'est réuni un groupe de travail au Ministère de l'agriculture sur les conditions environnementales que les agriculteurs doivent respecter pour toucher les aides de la PAC. La profession agricole s'oppose à deux mesures essentielles : le maintien des prairies naturelles et les éléments fixes du paysage (haies, bandes enherbées ...). Réaction de FNE.
La mise en oeuvre de l'accord européen du « Bilan de Santé » de la PAC a fait l'objet d'une concertation en début d'été qui a conduit à une adaptation des Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales (BCAE), conditions à respecter par les agriculteurs pour bénéficier des aides de la politique agricole commune (PAC). Il était convenu que les agriculteurs ne devaient plus labourer les prairies permanentes, et consacrer une part de leur surface (1% en 2010, 5% en 2012) aux éléments fixes du paysage (haies, bandes enherbées ...). Deux objectifs essentiels, remis aujourd'hui en cause par la profession.
Jean-Claude Bévillard, responsable des questions agricoles à FNE, explique : « Quiconque a déjà traversé les plaines céréalières de la Beauce se rend bien compte que ces espaces sont devenus de véritables déserts biologiques. Il est vital d'y redonner un peu de place à la nature. L'objectif de 5% n'est pas un caprice d'écologiste : c'est le minimum nécessaire pour rééquilibrer les écosystèmes et permettre une réduction de l'usage des pesticides».
FNE note que l'opposition la plus forte est manifestée par des agriculteurs céréaliers, qui ne veulent pas consacrer quelques pourcentages de leur surface à la biodiversité... alors qu'ils sont les principaux bénéficiaires de la PAC ! Une position particulièrement malvenue alors que s'ouvrent les négociations européennes sur l'avenir de la PAC après 2013.
Jean-Claude Bévillard ajoute : «La légitimité de la PAC aux yeux de la société est de plus en plus remise en cause. Les efforts de tous seront nécessaires pour obtenir une politique européenne ambitieuse, dotée d'un budget suffisant. Pour cela il faut montrer que les agriculteurs qui touchent des aides européennes sont prêts à faire des efforts pour l'eau, le sol, la biodiversité».
FNE demande au Ministère de l'Agriculture de ne pas revenir en arrière, sur des mesures qui constituent le minimum acceptable du point de vue environnemental.
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- Enregistré le : samedi 2 mai 2009, 9:52
- Localisation : cuperly (marne)
[Ischnura elegans] C'est qui ?
Il y a un un aménagement que beaucoup de naturaliste critique près de chez moi, c'est la ligne TGV est.
moi, je suis partager, certes, ça perturbe le déplacement de nombreux animaux, mais sa fait aussi de nouveaux habitat. Le seul endroit au la flore "naturel" peut pousser, c'est le long des lignes tgv, en bordure des pont qui l'enjambe et le long de l'autoroute. C'est malheureux dans arriver là, mais grâce à ses aménagement, des milieux propices à de nombreuses espèces (principalement des insectes) ont été recréé dans la plaine céréalière.
moi, je suis partager, certes, ça perturbe le déplacement de nombreux animaux, mais sa fait aussi de nouveaux habitat. Le seul endroit au la flore "naturel" peut pousser, c'est le long des lignes tgv, en bordure des pont qui l'enjambe et le long de l'autoroute. C'est malheureux dans arriver là, mais grâce à ses aménagement, des milieux propices à de nombreuses espèces (principalement des insectes) ont été recréé dans la plaine céréalière.