Je pense que mes compagnons feront voir leurs prises, je leur laisse ce plaisir. Je garde pour moi de vous faire voir des mâles et femelle L. dryas, après lesquels je courrais depuis des années. Je ne pense pas qu'ils se soient intéressé à cette espèce qu'ils connaissaient déjà.
Site très particulier, curieux; on pourrait se croire à Verdun avec de trous d'obus, mais non, c'est beaucoup plus gai; ce n'est que le travail de l'homme pour extraire la pierre meulière qui a créé ces milliers de mares. Quelques mètres carrés seulement souvent entourés de bruyères, ajoncs et genêts, toujours une végétation basse. Des mares qui plaisent au Leucorrhinia pectoralis!

Il ne manquait que le soleil pour que ce soit parfait!