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Bonjour, j'ai coutume de dire que ma saison ne démarre vraiment qu'au premier Trithemis , et bien c'est fait, ce matin, à la fraiche, un mâle émergent couvert de rosée, apparemment un hiver plus rude qu'habituellement n'a pas eu d'incidence sur la sortie de cette espèce, plutôt précoce, mais sans être ma meilleure date (11/05)
Alain Cochet : France : Mont-de-Marsan : 40000 : 21/05/2017
Altitude : NR - Taille : 35 mm Réf. : 183037
Non, je ne vois pas ce que tu veux dire Pierre j'aime bien les Trithemis, moi.
Une tous les 15 jours me semble cependant un bon rythme sauf comportement ou situation exceptionnelle!
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.
On peut bien attendre que Trithemis ait atteint la vallée de la Loire avant de fixer des limites à Alain : ça fait du bien de voir le sud venir chez nous par le forum
surtout quand les photos sont belles
Laisse nous t'dire que tu t'prépares des nuits blanches... Des migraines... Des "nervous breakdown", comme on dit de nos jours.
Audiard Les tontons flingueurs
Oui Dom, on pense trois générations même, pour en avoir discuté avec JP Boudot, j'ai déjà fait des clichés d'immatures en octobre, voilà ce qu'il me disait:
" Bien que les espèces afrotropicales ne connaissent pas intrinsèquement l'hiver et n'ont pas de rythme physiologique interne calqué sur les variations de températures, cela ne veut pas dire que les températures basses n'ont aucun effet sur elles, l'hiver, même dans le sud-ouest doit bien imposer une diapause larvaire ou un ralentissement du développement des larves qui cesse au printemps pour toutes à peu près en même temps pour tout le monde dans une localité donnée. Ceci amène à un certain degré de convergence dans les dates des premières émergences printanières et initie donc un rythme saisonnier imposé de l'extérieur et non de la physiologie propre des espèces. Les pontes de la première génération vont donner des adultes quelques mois après, celles de la seconde génération vont faire de même et donner une troisième génération, etc, tant que les températures restent élevées. Si la fin d'automne et l'hiver est froid, une diapause va s'installer, si l'hiver est chaud, on peut attendre une quatrième génération fin décembre. Dans les régions intertropicales, les températures ne régulent rien et les émergences n'ont pas lieu sous forme de générations séparées et rythmées mais se succèdent régulièrement tout au long de l'année, tout au plus influencées par l'alternance des périodes humides et sèches. "
Alain
, et bien c'est fait, ce matin, à la fraiche, un mâle émergent couvert de rosée, apparemment un hiver plus rude qu'habituellement n'a pas eu d'incidence sur la sortie de cette espèce, plutôt précoce, mais sans être ma meilleure date (11/05)
Tu te serais levé plus tôt tu nous aurais posté l'
sauf comportement ou situation exceptionnelle!
