J'imagine qu'une
C'est vrai qu'en fin de printemps/début d'été, la vie foisonne, il peut être embêtant de faucher à ce moment-là. C'est vrai par contre qu'à cette époque l'herbe coupée sèche plus qu'elle ne pourrit. Alors ?
Lors de votre inscription suivez impérativement ces recommandations pour que votre compte soit validé.
Si vous voyez ce bandeau, c'est que vous n'êtes pas connecté. En cas de difficultés de connexion cliquez d’abord sur CE LIEN avant de cliquer sur “Connexion”
Si vous voyez ce bandeau, c'est que vous n'êtes pas connecté. En cas de difficultés de connexion cliquez d’abord sur CE LIEN avant de cliquer sur “Connexion”
[Mantis religiosa] Une mante à Rennes...
Animateur : Sans animateur
-
SpinH
- Membre
- Enregistré le : lundi 4 juillet 2005, 22:13
- Localisation : Eure (27)
Pour que la friche reste diversifiée (au niveau végétal, et donc animal !), on peut "entretenir la friche", en fauchant la zone par moitié pour permettre une reconquête plus aisée par les animaux de la partie non fauchée. Dans le Jardin des insectes (Delachaux), l'auteur (V. Albouy) parle d'au moins 3 à 5 ans. Oto parlait de 2 ans. Pour la saison, Albouy parle de l'automne, "à condition de laisser les déchets sur place pour qu'oeufs, nymphes et insectes hivernants ne soient pas détruits ou enlevés en même temps".
J'imagine qu'uneoothèque dans des herbes au sol qui ne sèchent pas de tout l'hiver, voire qui pourrissent, elle pourrit aussi, non ?
C'est vrai qu'en fin de printemps/début d'été, la vie foisonne, il peut être embêtant de faucher à ce moment-là. C'est vrai par contre qu'à cette époque l'herbe coupée sèche plus qu'elle ne pourrit. Alors ?
J'imagine qu'une
C'est vrai qu'en fin de printemps/début d'été, la vie foisonne, il peut être embêtant de faucher à ce moment-là. C'est vrai par contre qu'à cette époque l'herbe coupée sèche plus qu'elle ne pourrit. Alors ?
Daniel
Balises :
-
Otopteryx-volitans
- Membre confirmé
- Enregistré le : jeudi 9 mars 2006, 11:54
- Localisation : Seine-et-Marne (Vaux-le-pénil))
bonjour,
c'est l'éternel problème de l'entretien d'un milieu.
Il n'y a pas en france de milieu (ou si peu) qui ne résulte pas d'une action ou d'une influence humaine.
Les friches actuelles sont des milieux très dynamiques qui vont se refermer par la mise en place de nombreux arbustes et épineux ( ronces, rosier sauvage, aubépines) puis par des jeunes arbres, ( frênes, erables ect ) pour enfin former un jeune boisement.
Seul les incendies, les innondations, les glissements de terrain, les tempêtes et les grands herbivores sont des évènements "naturels" qui sont capable de mettre en route la régénération d'un milieu.
Toute friche actuelle est condannée à une échéance de 10 ans sans intervention extérieure.
Après se pose la question du mode d'intervention si l'on souhaite gérer un site en friche.
les conseils de V. Albouy peuvent être suivi.
uneoothèque dans un tas d'herbes coupées ne tiendras pas plus que sous les lames d'une tondeuse.
La réouverture du milieu par partie semble incontournable même si on sait a l'avance que cela fera quelques dégats.
Oto.
c'est l'éternel problème de l'entretien d'un milieu.
Il n'y a pas en france de milieu (ou si peu) qui ne résulte pas d'une action ou d'une influence humaine.
Les friches actuelles sont des milieux très dynamiques qui vont se refermer par la mise en place de nombreux arbustes et épineux ( ronces, rosier sauvage, aubépines) puis par des jeunes arbres, ( frênes, erables ect ) pour enfin former un jeune boisement.
Seul les incendies, les innondations, les glissements de terrain, les tempêtes et les grands herbivores sont des évènements "naturels" qui sont capable de mettre en route la régénération d'un milieu.
Toute friche actuelle est condannée à une échéance de 10 ans sans intervention extérieure.
Après se pose la question du mode d'intervention si l'on souhaite gérer un site en friche.
les conseils de V. Albouy peuvent être suivi.
une
La réouverture du milieu par partie semble incontournable même si on sait a l'avance que cela fera quelques dégats.
Oto.
