Elle était d’une taille proche de flavipes/gravida, autour de 12 mm, mais sa blondeur m’a poussé à en faire une série. La
La nervation est de type Andrena.
La teinte générale m’a amené à considérer le sous-genre Chlorandrena. La rangée d’épines sur la partie postérieure du tibia est particulièrement difficile à montrer, mais 3 photos en montrent des parties.
Andrena (Chlorandrena) humilis est éliminable du fait de la présence d’une
Il faudrait donc considérer toutes les espèces du Sud à
Andrena agnata
Andrena cinerea
Andrena clypella
Andrena humilis
Andrena leucolippa
Andrena livens
Andrena nigroolivacea
Andrena pastellensis
Les
Je n’ai pas exploré toutes les espèces. Auriez-vous des idées pour la suite ?
Jean-Sébastien Carteron : France : Chavannes : 26260 : 05/05/2023
Altitude : 195 m - Taille : 12 mm environ
Réf. : 323170
Jean-Sébastien Carteron : France : Chavannes : 26260 : 05/05/2023
Altitude : 195 m - Taille : 12 mm environ
Réf. : 323171
Jean-Sébastien Carteron : France : Chavannes : 26260 : 05/05/2023
Altitude : 195 m - Taille : 12 mm environ
Réf. : 323172
Jean-Sébastien Carteron : France : Chavannes : 26260 : 05/05/2023
Altitude : 195 m - Taille : 12 mm environ
Réf. : 323173
Dans une des recherches de descriptions, espèce par espèce, une publication sur Andrena nigroolivacea, a retenu mon attention. Diverses raisons dans la traduction me font la présenter, sans aucune certitude :
C’est une publication qui cite son extension, jusqu’à Bâle, et sa sortie précoce avec A. humilis :
https://www.zobodat.at/pdf/Mitt-Ent-Ver ... 7-0090.pdf
Le Salsifis des prés (Tragopogon pratensis) est une fleur de la famille des Cichorioidae et s’observe dans les prairies adjascentes… Mais la sécheresse des derniers mois à Chavannes en a retardé la floraison.En Suisse, A. nigroolivacea est actif entre avril et mai et se trouve souvent avec A. humilis dans les mêmes habitats. Comme ce dernier, A. nigroolivacea est également oligolectique et spécialisé sur les Astéracées (sous-famille des Cichorioidae) (Amiet et al. 2010, Scheuchl & Willner 2016).
Une photo visible de loin sur la publication ne semble pas correspondre avec cet individu : l'
A. nigroolivacea, femelle. A tendance à être plus grande, 11-12 mm. (après traduction automatique de G. ;
Mesonotum et scutellum avec des points de cratère clairs, entre les deux avec un éclat de minerai jaune-vert. Tergites 2-4 avec des bandes d'extrémité légèrement saillantes. Tergites grossièrement chagrinés, ternes, avec un léger éclat de minerai ; comparativement moins dense, plus grossièrement perforé qu’humilis. Bords terminaux des tergites distincts, ternes, avec points indistincts.
Différenciation de A. nigroolivacea et A. humilis
Une distinction entre les deux types est possible sur le terrain. A. nigroolivacea est légèrement plus gros que A. humilis et le mésonotum et les tergites ont un léger éclat de minerai jaune-verdâtre. Chez les femelles, les tibias et les tarses postérieurs rouges (qui sont sombres chez A. humilis) sont bien visibles, et ils ont également des bandages lâches et saillants aux extrémités du tergite.